In English :
One day, I get in Antarctica, after to be gone in Norway and to be return in Italy. In wainting, I tell you my last dream, my last pain…
Flow, flow, flow… The hands imprisoning in this rope, flow, flow, flow, you go your drown in this cold waters of Antarctica! She don’t move for save me, her who is if pure and if sweet, she love me but don’t move, why? The air begin at miss, but I arrive to unbid me, and to go up at the surface, crossing icicle at the moment of my get up.
It’s night, and the fog… just one light of street lamp, near of this house who permit me of her see, call me all in crying, I see her on this beach of ice, in front this house… And this pickup? And his? Who is he ? You, I am jealous already… And the water go on, go on, go on! Even with their jackets, they have cold, but me, even my white shirt, I am in the good temperature… Jump in the pickup, it don’t flow, rest at the surface, as a raft… And the door of this house who to be open, a man is wearing a mountains shoes, of a jeans and of a jacket with green black and grey square who exit, who is he? I don’t know, in all circumstance he says us of us to dispatch to jump of pickup and to be go about the door, that we do.
The house is like an old laboratory dilapidated, but who function again, and we go at the storey, we arrive next to tents, mattress and downs… And the man talk with a person who slept in the one of tent, the man answers him. But me, I am contemplating her, her, this sweet and beautiful girl, I contemplate her, love for her… And him, I have of the hate for him, I hate him, I hate him, I would like kill him…
And a door who to be open, a jack, a friend, who enter, and who ask me of follow him a little outside, a beautiful sun that we see by the behind’s door, I adventure me on this flooding ground, the ground came to be return, flowed by a water who stream on the top, to be going on the sea, at far a rainbow and flowers on the sea. He talk me, show me a thing on the ground, I fall my head, and I see a frog with three legs, to be let carry by the stream, and to be bury… And I return about the door.
She don’t love me, I see him next to her, I see him… I would like kill him, I would like die, of never have knew this, of never have live this, I would like don’t exist… I love her…
« Quoi que je fasse, où que je sois, rien ne t’efface, je pense à toi… »
En français :
Un jour j’irai en Antarctique, après être allé en Norvège et être retourné en Italie. En attendant, je vous raconte mon dernier rêve, ma dernière douleur …
Coule, coule, coule… Les mains emprisonnées dans cette corde, coule, coule, coule, tu vas te noyer dans ces eaux glacées de l’Antarctique! Elle ne bouge pas pour me sauver, elle qui est si pure et si douce, elle m’aime mais ne bouge pas, pourquoi ? L’air commence à manquer, mais j’arrive à me détacher, et à remonter à la surface, croisant des glaçons au moment de ma remonter.
Il fait nuit, et ce brouillard… Juste une lumière d’un lampadaire, juste à côté de cette maison qui me permet de la voir, m’appelant tout en pleurant, je la vois sur cette plage de glace, devant cette maison… Et ce pickup ? Et lui ? Qui est-ce ? Toi, je suis déjà jaloux… Et l’eau monte, monte, monte ! Même avec leurs gros manteaux, ils ont froid, mais moi, malgré ma chemise blanche, je suis à bonne température… Sautons dans le pickup, il ne coule pas, reste à la surface, tel un radeau… Et la porte de cette maison qui s’ouvre, un homme habillé de chaussures de randonnées, d’un jeans et d’un manteau à carreaux vert noir et gris qui sort, qui est-il ? Je ne sais pas, en tout cas il nous dit de nous dépêcher de sauter du pickup et d’aller vers la porte, ce que nous faisons.
La maison est comme un vieux laboratoire délabré, mais qui tourne encore, et puis on monte un étage, arrivons sur des toiles de tente, des matelas et des duvets… Et l’homme parle à une personne qui dormait dans l’une des toiles de tente, l’homme lui répond. Mais moi je la contemple, elle, cette douce et belle femme, je la contemple, amoureux d’elle… Et lui, j’ai la haine de lui, je le hais, je le déteste, je voudrais le tuer…
Et une porte qui s’ouvre, un gars, un ami, qui entre, et qui me demande de le suivre un peu dehors, un beau soleil qu’on voit par la porte de derrière, je m’aventure sur se terrain inondé, la terre à peine retournée, noyée par une eau qui ruisselle dessus, se jetant dans la mer, au loin un arc-en-ciel et des fleurs sur la mer. Il me parle, me montre un truc sur le sol, je baisse la tête, et je vois une grenouille à trois pattes, se laisser porter par le courant, et puis s’enterrer… Et je retourne vers la porte.
Elle ne m’aime plus, je le vois à côté d’elle, je le vois… J’ai envie de le tuer, j’ai envie de mourir, de n’avoir jamais connu ça, de n’avoir jamais vécu ça, j’ai envie de ne pas exister… Je l’aime…
« Quoi que je fasse, où que je sois, rien ne t’efface, je pense à toi… »