jeudi 26 novembre 2009

Who want to go to swim?









Et encore, j'oublie le léviathan et le monstre du Loch Ness...
And again, I forget the leviathan and the Loch Ness's monster...

dimanche 22 novembre 2009

Subjonctif


In English :


The river flow, the past is far, the future is near, the present don’t exist, at last for me, if I live in the present, I would be nombrilist, she is good your beer, she is good… Sometime we said that the world is little, I would like to be blind, to stay in this foster’s glasses, in this cigarette’s odor, in this metal’s music, but the river flow…


It reproach me to live in the past, it reproach me to live in the future, it reproach me to be baba-cool, it reproach me to be bisexual, it reproach me to be that I am… I’m a mirror, I’m that you want that I would be, I’m the reflection of that you send me.


It would like us to do to think at the future, then the nobodies are nombrilist, they want to live at day the day, only it have us always to live in the past, at the school, we learn the bullshits of our olds, that would be in history, in philo or other… The future, we don’t try to wake up, or to express. We search just to make to conceal us, it’s not supposedly at us of we occupy us of the future.


«Et oh oh oh, et une bouteille de rhum… »


En français :


La rivière coule, le passé est loin, le futur est proche, le présent n’existe pas, du moins pour moi, si je vivais dans le présent, je serais nombriliste, elle est bonne ta bière, elle est bonne… Parfois on se dit que le monde est petit, je voudrais être aveugle, rester dans ce verre de foster’s, dans cette odeur de cigarette, dans cette musique de métal, mais la rivière coule…


On me reproche de vivre dans le passé, on me reproche de vivre dans le futur, on me reproche d’être baba-cool, on me reproche d’être bisexuel, on me reproche d’être ce que je suis… Je suis un miroir, je suis ce que vous voulez que je sois, je suis le reflet de ce que vous m’envoyez.


On voudrait nous faire penser au futur, alors que les gens sont nombrilistes, veulent vivre au jour le jour, seulement on nous a toujours appris à vivre dans le passé, à l’école, on apprend les conneries de nos ainés, que ce soit en histoire, en philo ou autre… Le futur, on n’essaye pas de l’éveiller, ou à l’exprimer. On cherche juste à nous faire taire, ce n’est soi-disant pas à nous de nous occuper du futur, et pourtant…


«Et oh oh oh, et une bouteille de rhum… »


vendredi 20 novembre 2009

In english, please (2)

A Oxford, j'avais trouvé Zizzi comme nom de restaurant, à Sydney j'aurai trouvé Grocon, comme marque de je ne sais quoi.

In Oxford, I has found Zizzi like restaurant's name, in Sydney I has found Grocon, like mark of I don't know what.

dimanche 15 novembre 2009

Jules Bonnot


Suite au décès de sa mère, alors qu’il n’a que dix ans, Jules Bonnot abandonne les cours (qui se passaient mal de plus). Il entre en apprentissage à quatorze ans, mais n’est pas motivé par le travail et se dispute souvent avec ses patrons successifs. A quinze ans, il est condamné pour la première fois (pêche avec engin prohibé), puis une deuxième fois à dix-neuf ans (bagarre dans un bal). Il se marie après son service militaire (à l’âge de 25ans), ils partiront pour la Suisse, alors que son frère se suicidera par pendaison suite à un chagrin d’amour. C’est à cette époque là que Bonnot commencera à militer pour l’anarchisme (l’anarchie c’est l’ordre sans le pouvoir), et suite à cet engagement politique, il se fait virer des chemins de fer et plus personne n’accepte de l’engager. Sa femme tombera enceinte et l’enfant, Emilie, mourra seulement quelques jours après l’accouchement. Bonnot est toujours anarchiste et à une réputation d’agitateur qu’il le fait expulser de Suisse. Ils iront à Lyon, sa femme accouchera d’un second enfant, et Bonnot continue de dénoncer les injustices et mènent les grèves, s’attire les foudres des patrons. Il partira alors pour Saint-Etienne, ou il bossera en tant que mécano, il loge avec sa famille chez le secrétaire de son syndicat, Besson, qui devient l’amant de sa femme. Et pour échapper à la colère de Bonnot, Besson part en Suisse avec Sophie et son enfant. Son engagement sera de plus en plus fort, et sa fuite lui a fait perdre son emploi et il devient un chômeur miséreux comme beaucoup. De 1906 à 1907, il ouvre deux ateliers de mécanique à Lyon, en parallèle, il commet quelques casses avec son bras droit, Platano. En 1910, alors qu’il a 34ans il se rend à Londres, et devient le chauffeur de Sir Arthur Conan Doyle (le créateur de Sherlock Holmes).

En fin 1910, de retour à Lyon, Bonnot utilise une De Dion-Bouton comme technique criminelle, une révolution, alors que la police le recherche, il quitte Lyon avec Platano (qu’il tuera en cours de route), on ne connait pas la raison exacte.

Fin novembre 1911, Bonnot rencontre ses futurs complices au sein du siège du journal L’anarchie dirigé par Victor Serge. Il rencontre donc Octave Garnier, Raymond Callemin (Raymond la science), Elie Monnier (Simentoff), Edouard Carouy, Andrè Soudy et Eugène Dieudonné. Ils ont tous déjà commis de petits crimes, et veulent en faire de plus gros, et l’arrivé de Bonnot va les faire passer à l’étape supérieur. Malgré que l’idée de chef soit détesté par les anarchistes, Bonnot plus expérimenté dans le crime, jouera ce rôle.

Le 14 décembre 1911, Bonnot, Octave et Raymond la science volent une voiture, le 21 décembre à 9h, se présentent Bonnot, Garnier, Callemin et un probablement un quatrième homme, au 148 rue Ordener à Paris. Ils attendent le garçon de recette de la Société générale, qu’ils vont blesser grièvement, et récupérer sa sacoche, avant de prendre la fuite en dans la voiture qu’ils avaient volé. C’est la première fois qu’une voiture est utilisée pour commettre un braquage, et l’événement à un énorme retentissement. La bande se cachera chez Victor Serge qui sera arrêté plus tard pour être le soit disant cerveau de la bande, ce qui aura pour effet de révolter René Valey et André Soudy et rejoindront ainsi la bande.

Le 31 décembre 1911, à Gand, Bonnot, Garnier et Carouy tentent de voler une voiture, mais sont surpris par le chauffeur, que Garnier assommera et tuera un veilleur de nuit avec un revolver. Le 3 janvier 1912, à Thiais, Carouy avec Marius Metge, assassine un rentier et sa femme de chambre lors d’un cambriolage. Le 27 février 1912 Bonnot Garnier et Callemin, volent une voiture, et se font arrêter par un agent de police (l’agent Garnier) qui sera abattu par Garnier. Le lendemain à Pointoise, ils tentent de cambrioler un coffre-fort d’un notaire, mais surpris par celui-ci, ils sont contraint de s’enfuir en abandonnant le butin.

Pendant ce temps, Eugène Dieudonné sera arrêté pour complicité dans l’affaire de la société général, alors qu’il est innocent, juste ami avec la bande. Le 19 mars 1912, une lettre publiée dans Le matin, fait sensation, Garnier met au défi la police de l’arrêter, même s’il connait son sort, il innocente Dieudonné, il signera la lettre par son empreinte digitale.

Le 25 mars 1912, Bonnot, Garnier, Callemin, Monnier, Valet et Soudy, volent une limousine à Montgeron, après avoir tué le chauffeur et grièvement blessé le propriétaire. Puis se rendent à la succursale de la Société générale à Chantilly pour un braquage improvisé, ils abattent deux employés, entassent des rouleaux d’or et des billets de banques dans un sac, et regagnent la voiture. Les gendarmes alertés, mais disposant juste de vélos et de chevaux, laissent la bande s’enfuir.

Suite à ce dernier braquage, la police arrive à mettre fin aux activités de la bande. Ils seront tour à tour arrêtés. Et le 24 avril 1912, Louis Jouin numéro 2 de la sûreté nationale qui est chargé de l’affaire, perquisitionne à Ivry-sur-Seine au domicile d’un sympathisant anarchiste. Il reconnaitra Bonnot dans une chambre, mais Bonnot tuera Jouin à coup de revolver puis s’enfuira blessé suite à la fusillade. Bonnot se rendra alors chez un pharmacien, qui fera le rapprochement avec l’affaire d’Ivry et préviendra les autorités (ouh la balance…).

La police a ainsi une idée d’où se trouve Bonnot et passera la région au peigne fin. Le 27 avril 1912, la police le trouve dans sa cachette à Choisy-le-Roi, Bonnot se retranche dans sa maison, le chef de la Sûreté cerne la maison et attend des renforts. Un long siège commence, mené par le préfet de police Louis Lépine et sous le commandement du capitaine Félix Fontan de la garde républicaine. De plus en plus de troupes arrivent, dont un régiment de Zouaves avec des mitrailleuses dernier cri. Bonnot sort de temps en temps pour tirer sur ses ennemies, qui ripostent, mais Bonnot s’en sort toujours indemne. Puis Bonnot rédige son testament, alors que la police va mettre un terme au siège, ils feront sauter la maison à la dynamite. Grièvement blessé dans l’explosion, Bonnot arrive à finir son testament, dans lequel il innocente plusieurs personnes et à accueillir les policiers à coup de revolver. Il décède peu après en arrivant à l’Hôtel-Dieu de Paris.

Ce que je pense de tout ça : Tuer voler et pourquoi on l’aimait pas lui ? Pourtant il a fait les mêmes choses que Mesrine, et il a été buté aussi salement... Au moins Jules Bonnot revendiquait quelque chose, l’anarchie. Et puis Jules Bonnot a révolutionné quelque chose, la police mobile, eh oui, avant les flics étaient en vélo ou à cheval, mais dès l’utilisation de la première voiture pour un braquage, Georges Clémenceau créa les brigades du tigre, les premiers policiers à utiliser les voitures. La bande à Bonnot a nargué les flics et les a même révolutionné.

Conclusion : Y’a pas photo je préfère Jules Bonnot à Jacques Mesrine.


PS : Raymond la science monta sur l’échafaud avec le sourire aux lèvres. Content de mourir ? Ou plutôt comment narguer les flics jusqu’au bout! ^^

samedi 14 novembre 2009

The ultimate secrecy



In English :

Where I am adventuring me? A new adventure? A new novel? Or I’m surfing just on a flash?... To turn these pages in color for find of blood, but even through this blood, there is this spark who make me to shiver, the envy to discover the follow of the adventure, the envy to know the begin but never the end, that the history never stop. The envy that book make us to vibrate, that did a long time that the hours wasn’t pass quickly, in this context one hours become one second, we have never enough, we want most, more beautiful of drugs, but the more difficult. I would like to shoot me at your perfume, to become drunk me of your beauty, to drown me in your eyes, I want to lost me in your glance…

If you knew, that I would like so much to look at sleeping…

En français :

Où suis-je en train de m’aventurer ? Une nouvelle aventure ? Un nouveau roman ? Ou suis-je juste en train de surfer sur un éclair ?... Tourner ces pages en couleurs pour trouver du sang, mais même à travers ce sang, il y a cette étincelle qui me fait frissonner, l’envie de découvrir la suite de l’aventure, l’envie de connaître le début mais jamais la fin, que l’histoire ne s’arrête jamais. L’envie que ce livre nous fasse vibrer, cela faisait longtemps que les heures n’étaient pas passé aussi rapidement, dans ce contexte une heure devient une seconde, on en a jamais assez, on en veut plus, la plus belle des drogues, mais la plus dure. Je voudrais me shooter à ton parfum, m’enivrer de ta beauté, me noyer dans tes yeux, je veux me perdre dans ton regard…

Si tu savais, que j’aimerais tellement te regarder dormir…

« Eat me, drink me, this is only a game… »

(à Aurélie...)

mercredi 11 novembre 2009

Anecdote sur Coluche


In English :

The Coluche's black period begin in december 1981 after his divorce. He did a photo for the satirical newspaper Hara-Kiri, where he is with a long rifle 22, that he give to his best friend Patrick Dewaere. And will go for the Guadeloupe, he will invitethe wife of his best friend to him join, Miou-Miou. She will quit then Patrick Dewaere for Coluche. The 16 july 1982, Patrick Dewaere kill himself in pull a bullet in his head with the rifle that Coluche give him. Coluche fall in the depression, alcohol and drugs.

In 1982, Bertrand Blier, begin the turning of movie "My best friend's girl" in which must play Coluche, Patrick Dewaere and Miou-Miou. The movie is inspired of link between the three actors. But after the death of Patric Dewaere, Miou-Miou don't want make the role, very painful. Thierry Lhermitte and Isabelle Huppert replace Patrick Dewaere and Miou-Miou. The climate soft-land-mark of movie let to show through a change in the way to play of Coluche, preceding the dramatic role of Tchao Pantin.

En français :

La période noire de Coluche débute en décembre 1981 après son divorce. Il fit une photo pour le journal satirique Hara-Kiri, où il pose avec une carabine 22 long riffle, qu'il confiera à son meilleur ami Patrick Dewaere. Puis partira pour la Guadeloupe, il y invitera la femme de son meilleur pote à le rejoindre, Miou-Miou. Elle quittera alors Patrick Dewaere pour Coluche. Le 16 juillet 1982, Patrick Dewaere se suicide en se tirant une balle dans la tête avec la carabine que lui avait confié Coluche. Coluche sombre alors dans la dépression, l'alcool et la drogue.

En 1982, Bertrand Blier, commence le tournage du film "La femme de mon pote", dans lequel doit jouer Coluche, Patrick Dewaere et Miou-Miou. Le film est inspiré du lien intime unissant les trois acteurs. Mais après le suicide de Patrick Dewaere, Miou-Miou refuse d'assumer le rôle, trop douloureux. Thierry Lhermitte et Isabelle Huppert remplaceront Patrick Dewaere et Miou-Miou. Le climat doux-amer du film laisse transparaître un changement dans la façon de jouer de Coluche, préfigurant le rôle dramatique de Tchao Pantin.

vendredi 6 novembre 2009

the first photo


(1ère photo prise en 1826/ first photo take in 1826)

In english :

I think that the history could to begin in 1826, since the first photo, before we had that a vision between the writers's lines, or via the paints. Before we had a vision by autors, that it's not obligatoiry good. With the arriving of the photo, we had us vision, a direct vision on the history. Even if sometime we can there to fake...

En français :

Je pense que l'histoire pourrait commencer en 1826, depuis la première photo, avant nous avions qu'une vision entre les lignes d'écrivains, ou via les peintures. Avant nous avions une vision par des auteurs, ce qui n'est pas forcément bien. Avec l'arrivée de la photo, nous avions notre vision, une vision direct sur l'histoire. Même si parfois on peut les truquer...