Journée de boulot terminée, la nuit est pratiquement tombée, le ciel entre nuit et jour, les nuages sont gris, il fait froid, vraiment froid, je redeviens invisible... Mauvais souvenirs... Je conduis, Tarja chante, sa voix qui me met les larmes aux yeux...
Où sont-ils tous passés? Mes potes, où êtes-vous? Ainsi c'est comme ça que ça se termine? On se croise par hasard de temps en temps, on croyait garder contact, se voir comme avant, et puis en fait le monde du travail nous sépare... On part tous dans des directions différentes, on vit notre vie, on change, on oublie, on se perd...
Les meilleurs potes gardent le contact entre eux, mais j'ai l'impression d'être bouffé par ce système, de le subir, de ne plus avoir le temps pour certaines choses, juste on garde le plus important et les priorités, et on met de côtés tout le reste...
Ils sont bouffer par un système, donnent des leçons, connaissent tout de rien, ils n'ont rien fait de leur vie, ce ne sont que des pions, et ils ne s'en rendent pas compte... Des chiens dans ce système, des esclaves...
Fragile est le dépressif qui part à l'autre bout du monde... N'est-ce pas un paradoxe? Ou un manque d'ouverture d'esprit?...
article inachevé...