vendredi 22 juin 2018

Adolf


En 1936, Hitler radicalise ses opinions antisémites. Plusieurs congrès pour annoncer qu'il était nécessaire d'anéantir le peuple juif. Il l'a dit, et il l'a fait!
Un gars bien et honnête! Pas excusable, mais on peut lui faire confiance sans soucis, et continuer les yeux fermés avec lui à la tête de l'Allemagne! Et de cette future guerre mondiale...
Humour noir...

jeudi 21 juin 2018

CERFA N°11530*05


Quelques définitions :

Cancer neuro-endocrinien : rhume viscéral, un doliprane et ça passe.

Fatalité : C'est ce que l'homme ne peut pas éviter (la mort). Par exemple, l'expression « C'était fatal » signifie « C'était prévu », « Cela devait arriver ».

Manipulation : Action d'orienter la conduite de quelqu'un, d'un groupe dans le sens qu'on désire et sans qu'ils s'en rendent compte.

Le cancer, c'est chic non? Vous ne trouvez pas?
Je ne suis pas fataliste, car pour moi le fatalisme c'est quelque chose que l'on souhaite au fond de nous.
Je ne manipule que rarement, juste pour obtenir des infos pour ma curiosité malsaine à vrai dire.

Peut-être ai-je oublié qui j'étais, n'ai-je pas assez pensé à moi? Je me suis oublié... probablement.
Ma mère malade, ça changera pas le monde, c'est normal a priori, il y a d'autres malades, bof qu'est-ce qu'on s'en fout en fait, faut pas t'en faire : qu'elle crève.
Une gamine?  Pourquoi se retourner sur elle, quand elle grandira elle s'en foutra de son parent, elle te fera un gros fuck pour grandir loin des parents, l'impression d'abandon? Bof qu'est-ce qu'on s'en fout en fait : laisse-la derrière toi.
Une baraque, des pierres? du fric? T'inquiètes, t'es pas alone dans cette situation, y'en a d'autres, bof qu'est-ce qu'on s'en fout en fait, c'est pas ma tune mec.

En fait c'est simple d'avoir réponse à tout! Suffit de ne pas être à ma place et de regarder la situation passivement! Pourquoi n'y ai-je pas pensé?! Personne ne peut être à ma place, mais chacun a des leçons à me donner (ou des conseils), même quand on ne me connait pas, on se le permet, et oui, car tout le monde est le meilleur, et tout le monde à le savoir absolu, tout le monde à cette prétention. A vrai dire, c'est simple de donner des leçons (c'est comme donner des conseils à un auteur sur comment faire un bouquin, quand celui-ci en a déjà sorti, sérieusement...)... Et tout le monde a un grand cœur, et sait mieux que quiconque ce qui doit être fait. Tout le monde a le même vécu, je le redis encore une fois : tout le monde est le meilleur, je n'en doute pas une seule seconde, si vous le dîtes c'est que vous avez raison. Mais n'oubliez pas, ce n'est pas parce qu'ils sont plusieurs à dire la même chose, qu'ils ont forcément raison : les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Et dès le moment où j'ai mis un pied dans cet engrenage, je savais dès lors qu'il y allait avoir de la casse.

Le nous, c'est quand nous faisons l'amour, qu'on se voit sans prise de tête, que nos regards se bouffent, ça me fait vibrer, ça me fait fondre. C'est toujours là au fond de moi. Ce nous, c'est toi et moi, à parler de tout et de rien, à refaire le monde dans un lit, à manger des viennoiseries dans un canapé, à s'aimer, à se regarder, à se dire je t'aime, à se faire jouir, car oui j'aime te faire jouir, c'est magnifique de te voir prendre ton pied.
J'aime ces moments à se découvrir, nos coïncidences, nos goûts...
J'aime ces putains de moments à se balader, à se voir peu importe l'instant, juste se voir, toi et moi. J'aime ces putains de baisers, quand nos langues se touchent, ces chocs électriques sur les papilles, ces papillons dans nos ventres.
J'aime ces putains de moments où tu t'endors sur moi, j'aime ces putains de moments où l'on se regarde se laver comme deux grosses tanches hébétées.
J'aime cette passion entre nous, ce feu ardent...
Je t'aime terriblement...
Et tout ça, je crois que tu l'as oublié...

Et pourtant l'amour et la haine sont très similaires, il en faut peu pour basculer de l'un à l'autre et me prendre un putain de crachat pleine gueule. Si être honnête c'est ça, se prend tout pleine gueule pour avancer, eh bien... moi perso je n'ai pas besoin de recevoir de crachats en pleine face, sans cesse, a subir un venin entre les dents, non non... Autant insulter directement, ça revient au même, c'est la même finalité, sauf que l'on paraît plus droit sans ça : suffit de prendre un Eric Zemmour pour comprendre ce qu'est un discours ordurier sans la moindre insulte, ce n'est pas de l'intelligence, mais de la connerie. S'il faut être honnête, alors ce soir là, tu as fait honneur à ton nom, car ce n'était pas toi que j'avais vu dans ton visage, mais lui, son portrait craché...

J'ai cette impression que l'amour n'est qu'à sens unique, j'ai l'air fine avec mes roses : j'ai appris que l'amour se résumait qu'à un bout de papier... Non pas une lettre d'amour, ni même un poème, car ce bout de papier on le nomme Cerfa... Encore faudrait-il savoir ce qu'est un simple contrat que l'on signe et que l'on paye avant de me dire ce que je dois faire dans des procédures de justice de merde que j'encule, car là ce n'est pas un contrat, mais un combat dans lequel on se prend des sacrés coups dans la gueule. C'est nul de cracher du venin...

Séparation, maladie, gamine, baraque... Une main tendue aurait juste été appréciable. Mais tous prendrons ton parti, ne t'inquiètes pas, ma vie n'est pas la tienne, on n'a pas besoin l'un de l'autre me dis-tu. Tu as eu raison d'agir comme ça, ils te rassureront, ils te le diront tous : tu as eu raison, cette personne n'en valait pas la peine, c'est une merde. Après tout, ça ne fera qu'une personne de plus qui me crachera à la gueule. Perdu... Comme les sonneries de téléphone dans le vide, dans la nuit... Je t'ai perdu... Et non pas l'inverse...

Et sinon? Mon psy se porte bien. Ah si... J'ai cette chanson dans un coin de ma tête :