Tes mains...
Ton odeur...
Ton regard...
Ton sourire...
Ta peau...
Tes lèvres...
Ces papillons dans le ventre...
Je t'aime...
Tu me manques...
Mon amour...
samedi 24 novembre 2018
mercredi 21 novembre 2018
FYJB
Full yellow jacket boulette
Un début de jacquerie : je comprends que les fins de mois soient durs, je comprends oui, néanmoins je sais gérer un budget et ne pas vivre au-dessus de mes moyens. Bloquer des travailleurs, des gens comme vous, des gens qui vont bosser et qui sont dans la même merde que vous! Est-ce là l'intelligence? Je trouve clairement très... con, abruti, pute, merde, enfin ce que vous voulez! Vous êtes aussi putes que Macron! VOUS VOUS TROMPEZ DE CIBLE!!!!!
Cette même violence utilisé par nos chers dirigeants : divisé pour mieux régner, et qui c'est qui les a élus? Nous!!! Si vous souhaitez tant que ça exprimer votre mécontentement, faudrait monter sur Paris aux portes de l’Élysée, fracasser les portes du palais et choper notre grand dieu, et lui rappeler qu'il n'est qu'un homme comme les autres. Ça ne sert à rien de foutre un merdier d'enfer sur des ronds-points en mode village people - casseur - fils de pute - raclure de merde - stabilo.
"C'est dur le manger!
-EH! Commence par arrêter de boire, poivrot! T'es rouge comme un cubi!"
L'essence et le gazoil trop cher, eh oui... C'est ballot! En 2017 vous avez choisi d'élire une pute (certes parmi un lot de putes). Maintenant il ne faut pas venir vous plaindre, vous l'avez décidé ainsi bande de cons! Les français sont des burnes! Un pays de crétins, un pays sur lequel on devrait demandé à Pyongyang de jeter quelques missiles nucléaires, faut pas que ça se reproduise des cons comme ça.
En 1789, il y avait la révolution avec les sans-culottes qui n'avaient plus de quoi bouffer et qui s'en prenait à la monarchie, aux dirigeants... aujourd'hui on a des gilets jaunes qui pleure devant du carburant en faisant chier les travailleurs, une clope à la main en train de te dire que c'est dur les fins de mois... à 10€ le paquet par jour? WTF
Vous pouvez voir que les chômeurs ne bougent pas spécialement pour cette manifestation. Ça occupe les casseurs et les beaufs, pendant que nos dirigeants se divertissement devant ce spectacle où des guignols se tapent à coups de gourdins.
Montez à l’Élysée, et je vous suivrai! Défoncer les radars à coup de disqueuse, carrément! J'aime les voir par terre, la tête dans l'herbe! C'est une très bonne cible! Bloquer les préfectures, le sénat, l'assemblée, etc! Et nourrissez-les avec une pizza pour cinquante personnes! Mais pas les travailleurs! Pas les gens comme vous, qui sont dans le même merdier que vous! Bloquer les dirigeants des groupes comme Leclerc, Carrefour, Total, Intermarché, etc... Les mecs qui nous rackettent à longueur de temps. Mais pas les travailleurs... et pas les accès aux soins...
Et puis bloquer les routes pour paralyser le pays, et laisse juste les camions passer, c'est comment dire... contradictoire!
samedi 10 novembre 2018
Peter Pan
Quand James Matthew Barrie écrivit Peter Pan, il était évident que l'auteur avait perdu un frère jeune. Et qu'il avait transposé son souvenir dans le personnage de Peter Pan. Un garçon qui ne vieillirait jamais et qui pouvait vivre maintenant des histoires extra-ordinaires... Un garçon mort auquel on suppose une vie après la mort.
La douleur, de perdre un enfant, est terrible pour un parent. Cette douleur marquera le parent jusqu'à la fin de ses jours. Il n'est pas normal d'enterrer la chair de sa chair avant soi : le deuil ne se fera jamais, et ça reste jusqu'à notre mort, ça nous maintient même en vie. Mais ça ronge, ça détruit, c'est dévastateur.
Le suicide est un acte courageux, il faut avoir beaucoup de force pour mettre fin à ses jours, ce n'est pas anodin également. Car quel malêtre peut nous pousser à raccourcir encore plus cette vie d’éphémère? Pensons-nous à ceux qui nous aiment lorsque l'on décide de mettre fin à nos jours? Des questions sans réponse probablement, car les morts sont morts parait-il...
La maladie peut donner une raison, le suicide aucune... Impuissance et fatalité devant des yeux fermés.
La carne reste, les saloperies ne meurent pas, pourquoi? Ils sont trop imbus d'eux-mêmes, ils s'aiment trop pour ne pas se suicider. La remise en question, ils ne connaissent pas.
On a passé beaucoup de temps ensemble pendant notre enfance, sport et collège. On rigolait bien, dommage que ça a toujours été un peu tendu à cause de la connerie des adultes à l'époque. Je me souviens d'un soir d'Halloween... Et puis merde...
Repose en paix, Nico, mon vieil ami...
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