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samedi 10 novembre 2018
Peter Pan
Quand James Matthew Barrie écrivit Peter Pan, il était évident que l'auteur avait perdu un frère jeune. Et qu'il avait transposé son souvenir dans le personnage de Peter Pan. Un garçon qui ne vieillirait jamais et qui pouvait vivre maintenant des histoires extra-ordinaires... Un garçon mort auquel on suppose une vie après la mort.
La douleur, de perdre un enfant, est terrible pour un parent. Cette douleur marquera le parent jusqu'à la fin de ses jours. Il n'est pas normal d'enterrer la chair de sa chair avant soi : le deuil ne se fera jamais, et ça reste jusqu'à notre mort, ça nous maintient même en vie. Mais ça ronge, ça détruit, c'est dévastateur.
Le suicide est un acte courageux, il faut avoir beaucoup de force pour mettre fin à ses jours, ce n'est pas anodin également. Car quel malêtre peut nous pousser à raccourcir encore plus cette vie d’éphémère? Pensons-nous à ceux qui nous aiment lorsque l'on décide de mettre fin à nos jours? Des questions sans réponse probablement, car les morts sont morts parait-il...
La maladie peut donner une raison, le suicide aucune... Impuissance et fatalité devant des yeux fermés.
La carne reste, les saloperies ne meurent pas, pourquoi? Ils sont trop imbus d'eux-mêmes, ils s'aiment trop pour ne pas se suicider. La remise en question, ils ne connaissent pas.
On a passé beaucoup de temps ensemble pendant notre enfance, sport et collège. On rigolait bien, dommage que ça a toujours été un peu tendu à cause de la connerie des adultes à l'époque. Je me souviens d'un soir d'Halloween... Et puis merde...
Repose en paix, Nico, mon vieil ami...
jeudi 8 février 2018
Un kir mûre
On a évolué chacun de notre côté, sur des chemins parallèles sans vraiment se croiser et ce depuis notre naissance, depuis notre premier jour sur cette putain de terre, dans cette putain de vie. On a tellement de choses en commun, tellement de sentiments, de détails qui se rejoignent.
Ton histoire, je la connais, enfin... en partie, je sais ce qu'il se passe, je sais qui tu es, je sais pourquoi. Et j'ai tellement envie d'en découvrir plus sur toi et ta personnalité.
Maintenant que nos chemins se chevauchent, tu m'intrigues, m'intéresses, je voyage dans tes yeux. Ouais, je crois que je suis tombée sous ton charme... Je n'ai pas envie de sortir de ces rails. Tu me plais, je suis bien avec toi.
C'est encore plus accentué quand on se balade dans cette ville, sous la neige, il y a un côté magique. A se regarder et s'écouter dans un petit resto, et enfin manger nos précieux framboise. J'ai envie de les manger sur tes lèvres, sur ton cœur, sur toi tout simplement.
Pas besoin de Disney pour rendre la journée féérique, te regarder me suffit amplement. Je t'aime...
Et je ne sais comment sortir de cette impasse, dans laquelle je me suis enfoncée...
lundi 23 juillet 2012
Archétype
Voyez tout l'art de ces mains innocentes...
(Bon d'accord, ça fait deux fois en deux articles, ça commence à être lourdingue)
Jaune et bleu... Non ce n'est pas le drapeau de la Suède dont je parle, c'est d'un paysage, non pas le jaune de la plage et le bleu de l'océan, je parle de la Beauce encore une fois, traverser cet océan jaune, jaune comme le blé, jaune comme la vie, jaune comme le soleil qui cogne l'été, sous un ciel bleu sans nuage, et moi au volant de mon cabriolet, Hey, cruel world... chante un certains Marilyn Manson à travers le poste auto-radio.
Vivement les vacances que je me dis, vivement les vacances, comme tout le monde, vivement le repos, vivement l’attroupement sur les lieux touristiques comme des huîtres sur des rochers, prévision du système ou mouvement beauf'? Oui je trouvais ça tellement beauf', que les gens aillent sur la même période au même endroit, pour se reposer, et rentrer au taf et dans leurs habitudes, en pensant qu'ils ont eu un semblant de liberté, après une année à cravacher... voici la récompense : les congés...
Alors, on n'attend pas Patrick? Un peu en fait... On attend la beauf'attitude qui sommeille en nous tous, on passe des vacances mémorables, du moins on essaye, et Quand vient la fin de l'été on se souvient, on idéalise, on se remémore, on regrette, et on avance, on continue notre chemin comme ça. C'est comme un fantôme qui reste dans un coin de notre tête, qui nous influe, est-ce nuisible ou nécessaire?
Ça disparaît, ça réapparaît, c'est incertains et magique, comme un brin de folie qui manque au quotidien, dont on ne fera jamais le deuil, ou difficilement. On retrouve le lieu magique quelques années plus tard, et ça revivifie ou alors ça empoisonne, peu importe, le résultat sera le même. On a besoin d'idéaliser, mais ça nous frustre, ça nous insatisfait.
Nous n'arrivons pas vierge dans un lieu, nous y apportons notre passé et nos expériences, et ce lieu permet de rajouter une pierre à l'édifice du besoin de se construire un vécu personnel. Ce lieu est bien souvent synonyme de non-durable et impossible.
C'est bien le problème des souvenirs, ils nous prennent en otage... La raison reconnait la réalité, mais l'inconscient est beaucoup plus docile, et donne une machine à rêver plus que productive. C'est indélébile, une prise de possession, ils nous capturent, et on le choisit pas. Juste un souvenir d'immensité idéal à un instant t (dédicace à ma prof de physique de BTS, JE JE suis libertine, JE suis une bobine...). C'est un fantôme qui vient hanter l'aujourd'hui, un fantôme dont ceux qui n'en ont pas conscience peuvent s'estimer heureux, bien que ça peut rimer avec clochardise mentale... (ça c'est aussi une dédicace à ma grosse pute lol).
On sait d'avance que ça ne dure pas, et tôt ou tard, il vous faudra franchir le pas et dire au revoir au paradis, car la réalité rattrape l'inconscient, il faut un jour quitter le lieu magique des vacances, pour retrouver son chez soi, et sa routine. Vous cherchez la perfection, mais ce n'est juste que votre imaginaire qui travaille, car on le sait tous, dans la réalité, les failles apparaissent à la longue. Il faut un jour faire le trajet en sens inverse, et retourner bosser, toute une année, pour recommencer et obtenir quelques jours de pseudo-liberté, être convaincu et y croire. Y croire d'accord, encore faut-il avoir de l'espoir et ne pas être impatient...
Quelle fonction a pour vous ces souvenirs? Serviront-ils de réparateur, de pommade du quotidien, pommade au boulot? Y penserez-vous de temps en temps? Un peu nostalgique? Ou vous permettront-ils d'affronter la réalité? Êtes-vous épanouie? Vous sentez-vous bien au fond de vous même? Vous êtes vous donné du temps? Qu'est-ce qui vous empêche de vous investir convenablement dans votre vie de tous les jours?
Vivement les vacances, j'en ai besoin, besoin de souffler, besoin de voir du pays, besoin d'être baroudeur, besoin de respirer, besoin d'être moi, d'être incompréhensible. Besoin de péter un câble, de me sentir vivant.
J'habiterai sur un lieu de vacances, comme ça je serai en vacances toute l'année, et quand je prendrai mes vacances je partirai dans d'autres pays!
"On avance, on avance, on avance, c'est une évidence, on n'a pas assez d'essence, pour faire la route dans l'autre sens..."
Libellés :
allégorie,
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dédicace,
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spirale
dimanche 27 juin 2010
Thought in the wonderland

Laisse-moi me perdre au creux de ton coeur, de ce labyrinthe venant tout droit de l'imaginaire de Lewis Carroll. J'ai trouvé le lapin blanc, je le suis, j'espère qu'il ne me fuira pas, j'ai trouvé mon but. Laisse-moi me perdre dans cette végétation, suivre nos chemins qui se croisent, faire ce bout de chemin ensemble, j'espère qu'ils ne se sépareront jamais...
Le chat de Cheshire qui me sourit et qui m'entraîne dans sa folie, je tourne en rond dans cette danse du dodo au creux d'une tasse en délire du chapelier fou et du lièvre de mars. Je savoure comme une glace, un soupçon de frais sur ma langue, pour laisser échapper la douceur de ce met, avec un fond de chocolat, une tendresse insoupçonnable, et qui te rend si craquante. Je te savoure comme je t'aime, je sais que tu fonds sous mes baisers... J'ai la tête qui tourne, je deviens fou, ivre de toi...
Toute la journée, il m'a manqué quelque chose, te tenir la main... Tu m'as tout simplement manqué, je ne cessais de penser à toi, je voulais partager ça avec toi.
"Sweet dreams are made of this"
à Amélie...
vendredi 7 mai 2010
Dépixelisation
1er écrit (pendant l’aller) :
Ce même visage, si fin, si beau, tu dormais, je te regardais, je prenais un plaisir fou, si belle… Je voulais te caresser, mais tu n’es pas elle, tu lui ressembles, mais ce n’est pas toi, tu fais remonter les souvenirs, enfin…
Voyager, la gare, les rails, les inconnus, le train, l’inconnu, un p’tit plaisir en solitaire (eh non, ce n’est pas la masturbation), ça commence par la déprime, enfin juste un peu de morosité. Je croise des regards, je ne suis qu’un éphémère, un passeur dans cette gare, dans votre vie…
2ème écrit (durant le séjour) :
Je viens de mettre un bonbon dans ma bouche, il fond lentement, laissant au croustillant le fondant à la fraise, qui se répand, mes papilles gustatives qui frémissent, c’est si bon, c’est excitant, on arrête la terre de tourner, pour apprécier ce moment, peut-être que la terre est en train de tourner dans ma salive…
Je découvre de nouvelles saveurs, je découvre une nouvelle région, ma liberté… Je me sens si bien, évaporé, drogué à cette nouvelle sensation… Un paysage à mi-chemin entre la Beauce et la Nièvre, je me sens si bien, je me sens chez moi, dans mon élément…
J’ai pas envie que ça s’arrête, je suis trop bien ici...
3ème écrit (pendant le retour) :
Dommage que le temps ne soit pas au rendez-vous, mais peu importe, je suis venu pour te voir, passer du temps avec toi, reste comme tu es, tu es une perle ! Il n’y a pas besoin de se voir pour créer des amitiés, mais c’est tout de même appréciable de se parler droit dans les yeux.
Du pur bonheur, c’était si bon, si bien, si agréable… Tu me manques déjà !
Résumé :
Parfois on ferme les yeux, on rêve, on ne veut jamais les rouvrir, mais tôt ou tard, il le faut, et dès lors, on regrette ce rêve, qui fait pétiller les yeux, on veut retourner dans ce monde qu’on oubliera jamais, les moindres secondes on veut les croquer à pleine dent.
Bouger un peu, pour sortir de cette réalité, de notre quotidien, éviter de tomber dans la routine, prendre le train et le métro pour avoir un plaisir de liberté.
Découvrir une partie de la Champagne-Ardenne (au détour du zoo d'Amnéville et de la Lorraine), découvrir des gens adorables (des Carole et des Greg, y'en a pas assez des gens comme eux dans ma région!), je suis dans mon élément, et se parler autour d’une bouteille… euh… d’un verre ! Bien que je n’ai pas beaucoup parlé, j’étais vraiment bien, j’appréciais vraiment le moment présent.
Dur retour à la réalité…
à Charlotte...
Pays/territoire :
D203, 51240 Nuisement-sur-Coole, France
vendredi 12 mars 2010
Déserteur

J'ai toujours dit que si on devait me forcer à aller me battre au nom d'une patrie, ou d'un drapeau, que je n'irai pas, qu'on m'exécute ou alors je déserterai, je ne veux pas être un assassin, je ne veux pas être ce genre de mecs qui se prennent pour des cow-boy avec leur flingue. Je ne veux pas nourrir la terre avec du sang. Peut-être qu'un jour les gens comprendront que l'on peut faire la guerre autrement qu'avec des armes.
Alors crois moi, tu n'as pas à rougir de partir, sois-en fier, tu as eu les couilles que les autres n'ont pas. Toi au moins tu ne vas pas en Afgha pour tuer, tu n'es pas un assassin, tu voulais être un brancardier, un sauveur, ce que les autres ne seront jamais. Tu as posé ton flingue pour prendre tes affaires, tu ne veux pas de sang sur les mains, tu n'es pas ce genre de pourriture qui tue pour rien, tu n'es pas quelqu'un qui s'en va faire la guerre au nom d'un drapeau. Tu n'es pas rentré dans cette connerie humaine qu'est la guerre et ses partisans. Tu es un homme, un vrai, un gars qui a des couilles, je te respecte pour ça, avoir déserter, qu'on prenne tous exemple sur toi, tu es un bon! On devrait te traiter comme un héros.
"Alors il parait qu'on m'cherche? Qu'la France à besoin d'moi? C'est con, j'suis en Ardéche!"
(A Perig...)
samedi 14 novembre 2009
The ultimate secrecy

In English :
Where I am adventuring me? A new adventure? A new novel? Or I’m surfing just on a flash?... To turn these pages in color for find of blood, but even through this blood, there is this spark who make me to shiver, the envy to discover the follow of the adventure, the envy to know the begin but never the end, that the history never stop. The envy that book make us to vibrate, that did a long time that the hours wasn’t pass quickly, in this context one hours become one second, we have never enough, we want most, more beautiful of drugs, but the more difficult. I would like to shoot me at your perfume, to become drunk me of your beauty, to drown me in your eyes, I want to lost me in your glance…
If you knew, that I would like so much to look at sleeping…
En français :
Où suis-je en train de m’aventurer ? Une nouvelle aventure ? Un nouveau roman ? Ou suis-je juste en train de surfer sur un éclair ?... Tourner ces pages en couleurs pour trouver du sang, mais même à travers ce sang, il y a cette étincelle qui me fait frissonner, l’envie de découvrir la suite de l’aventure, l’envie de connaître le début mais jamais la fin, que l’histoire ne s’arrête jamais. L’envie que ce livre nous fasse vibrer, cela faisait longtemps que les heures n’étaient pas passé aussi rapidement, dans ce contexte une heure devient une seconde, on en a jamais assez, on en veut plus, la plus belle des drogues, mais la plus dure. Je voudrais me shooter à ton parfum, m’enivrer de ta beauté, me noyer dans tes yeux, je veux me perdre dans ton regard…
Si tu savais, que j’aimerais tellement te regarder dormir…
« Eat me, drink me, this is only a game… »
(à Aurélie...)
Libellés :
cannibalisme,
dédicace,
english
Pays/territoire :
22 Rue des Grenets, 28000 Chartres, France
mardi 16 juin 2009
Téléportation

(à ma Lotte)
Samedi 13 juin, le jour où j’ai découvert cette forme de téléportation, non pas celui qu’on peut voir dans les Star Trek ou dans le film La mouche, je parle de cette téléportation où l’on est que des octets et des signaux électriques et qu’on passe à l’état d’être humain en quelques secondes, enfin pour ma part il aura fallu attendre deux ans pour que cette occasion se réalise. Un bonheur infini, des larmes de joie qui coulent, une journée pour en découvrir un maximum sur son fonctionnement. Et je dois dire que je n’en suis pas déçu, j’en suis imprégné, j’en garde un souvenir fort excellent, et j’espère avoir laissé une trace au fond de son cœur. J’ai pu découvrir une personne en or, une femme fatale, quelqu’un que j’aime et que je respecte, je ne sais pas s’il y a des mots pour dire ce que mon cœur a pu ressentir, un plaisir, un bonheur, une joie… ? Non, c’était rien de cela, c’était mieux ! Largement mieux. C’était inoubliable, ça restera gravé au fond de moi et j’espère que l’occasion se renouvellera. J’ai vraiment envie d’écrire un très long article, mais je préfère en garder pas mal, histoire de savourer un maximum le sucré (et non le salé XD) que tu m’as donné ce samedi 13 juin. Et puis, j’ai bronzé, ce n’est pas bien de m’éblouir ;-) Voilà que me pousse un pendentif, merci infiniment beaucoup !
Votre serviteur (la beaugossitude) ^^
Pays/territoire :
Autoroute du Nord, 60128 Plailly, France
lundi 30 avril 2007
La valeur des mots d'amour

J'en reçois tous les jours,
Je les apprends par coeur,
Elles gardent toujours la même saveur...
J'aimerais en recevoir chaque secondes,
Elles permettent de m'échapper de ce monde,
Loin du bruit, de la fureur, de la colère...
Elles me permettent de respirer,
De me donner un nouveau souffle d'air,
Pour ne pas suffoquer...
Lettres de mon amour,
Me remplissent de bonheur,
Je les porte sur mon coeur,
et pour toujours...
A Céline...
lundi 15 janvier 2007
Article dédié à Anthony
Anthony, mon vieux frère que j'n'ai pas revu depuis bientôt 5 ans... Parce que tu es partis pendant presque 3 ans en Côte d'Ivoire... Maintenant tu es de retour en France depuis un peu plus de 2 ans... Heureusement qu'on a gardé contact. Enfin voilà, cet article t'es dédié.











dimanche 31 décembre 2006
Ma déesse
Chaque seconde je pense à elle, je l'aime passionément & tendrement. Elle est ma passion, ma destinée, ma seule raison d'être... Mon coeur lui appartient, je n'ai d'yeux que pour elle... Elle me manque terriblement, j'aimerais être en ce moment, & pour toujours, à ses côtés, pouvoir la tenir dans mes bras, pouvoir la regarder, pouvoir s'embrasser... Je l'aime & personne & rien ne pourra me faire changer d'avis. Si mon coeur bat pour quelqu'un, c'est bien pour elle. Elle est si magnifique, si radieuse... Une perle rare... Ses yeux sont des étoiles, ses cheveux dorée sont du miel sous mes baisers... Elle a un coeur en or, c'est une fille en or... Main dans la main, je la suivrai juqu'au bout du monde. Si je veux faire ma vie avec quelqu'un, c'est bien avec elle! Ma déesse, mon amour, mon coeur, ma p'tite cheyenne, la princesse de mon coeur, ma p'tite apache, ma tigresse... Aucun nom n'est assez beau pour elle... C'est une déesse, elle est ma déesse! & je l'aime atrocement, je suis fou amoureux d'elle. Céline je t'aime pour toujours, je t'aime à l'infini, je t'aime de tout mon coeur, je t'aime de toute mon âme, je t'aime à en crever, je t'aime ma déesse...
P'tit poème
J'ai écris ce poème cette nuit, en une vingtaine de minutes, bon je ne trouve pas qu'il est extra, car je pense que j'ai largement mieux fait dans ce domaine, mais bon je le diffuse quand même:
Quelques notes de piano...
Et je sens monter en moi,
Ce désir intense de t'aimer...
Laissez-moi mettre quelques mots,
Pour celle dont je reste sans voix:
La princesse de mon coeur adorée!
Quelques accords de guitare,
Eh! C'est sur cet instrument,
Que les plus beaux slows se dansent...
Tes yeux brillent dans le noir,
Et tu m'embrasses tendrement,
Tu as percé toutes mes défenses.
Un air de violon résonne,
Et tu me prends par la main,
Et m'entraînes dans la forêt,
Pour un moment qui me passionne...
C'est l'amour et je n'y peux rien!
Elle m'a complètement ennivré...
Le souffle d'un saxophone,
Rappel la réalité,
Je n'ai fait que de rêver,
J'en suis devenu aphone,
J'ai une envie de pleurer,
Mon amour, pourquoi sommes nous éloigné?
Quelques notes de piano...
Et je sens monter en moi,
Ce désir intense de t'aimer...
Laissez-moi mettre quelques mots,
Pour celle dont je reste sans voix:
La princesse de mon coeur adorée!
Quelques accords de guitare,
Eh! C'est sur cet instrument,
Que les plus beaux slows se dansent...
Tes yeux brillent dans le noir,
Et tu m'embrasses tendrement,
Tu as percé toutes mes défenses.
Un air de violon résonne,
Et tu me prends par la main,
Et m'entraînes dans la forêt,
Pour un moment qui me passionne...
C'est l'amour et je n'y peux rien!
Elle m'a complètement ennivré...
Le souffle d'un saxophone,
Rappel la réalité,
Je n'ai fait que de rêver,
J'en suis devenu aphone,
J'ai une envie de pleurer,
Mon amour, pourquoi sommes nous éloigné?
à Céline...
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