Mourir en toute lettre, d'une pomme dans la main, c'est se brosser une tête éphèmère et valétudinaire... J'encule un rhum, pour faire passer l'envie de peindre les déboires de la haine matinale, qui ronge l'asticot de son coeur meurtrie par la terre des cons, l'amour lui-même détruit le cuivre isolant l'espace du cerveau. Je dévore et abhorre le sang de la peur, le rire transperce mes trippes et mes pensées... L'inconscient de la folie n'existant pas dans mon subconscient du meurtre et de l'amour, je me laisse à l'envie de fumer un joint de politique, remplie de connards se bouchant la cervelle de cire d'élèphant... La rose est une belle salope de première, autant que le feu qui peut la brûler dans l'extrème d'une pomme... J'offre une corde pour assécher le cracha provenant de la lame du poignard...
La poussière détruit une planète, un livre de terre est pourtant ouvert, autant que l'écologie dans la décadence de l'homme... Corrompre l'événement d'une naissance, et l'herbe se fumera d'elle-même, elle placera le digital au rang d'histoire... La chevelure fraisière se désintégrera d'un simple rayon de soleil verdoyant... Je séme les midinettes, pour une potentielle bobine d'encre de truite, de quoi exprimer en l'air le dèshonneur de la terre, de la mer et de l'air. La lave sera froide, le coeur glaciale, le big-bang éphèmère, l'espace d'un instant...
Non ce n'est pas une dérive de la voiture sous l'emprise de la drogue, ni du bateau volant autour du chevreuil... C'est un attachement solidaire du mal à l'amitié, d'un pêche à l'abricot, peinte par le poulpe du ciel... J'emprisonne la cravate d'un papillon, l'empéchant de nuire à la connerie animale, éteinte par le réveil de l'ouragan de lumière... N'est-ce pas perdurisque? La vision du passé me fait trancher les yeux de l'arbre, cette chaise sur laquelle je gratte les cordes d'un chat. J'ingurgite l'ordinateur de son ticket de bas, je me goinfre de sa neige de pétrole...
La valeur d'une pensée qui vacille au coin d'une rue, c'est à la fois une couleur de l'état du vin, pris dans un piston de chaleur, une fumée détournée de son atmosphère, une planète de verre dans une cafetière tournant à l'espace du numérique, si le stylo n'avait pas cramé son poil, le plastique n'aurait jamais déserté la baleine... Le dvd bande aussi bien qu'un avion traversant le temps inexistant de mon esprit...
Laissons place à la démagogie...
6 commentaires:
c'est toi qui a écrit ça ?
oui ^^ pourquoi?
pfft... un blog de jeune !
Ouais de jeune couillon...
de vrai jeune ?
GRRRrrr...
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