jeudi 30 octobre 2008
Le Yéti en Amazonie
En lisant un magasine genre science et vie… Il parait (je ne sais pas si c’est une légende) qu’en Guyane Française, dans la forêt Amazonienne, proche du Brésil, il y aurait des espèces de Bigfoot, les gens habitant dans ces régions se réfère a eux en disant « les gens de là-haut », seulement on ne les a jamais vu pour l’instant, et à la frontière, les brésiliens parlent aussi de ces « gens de là-haut ».
Ca me fait penser à ces « on dit » qu’il y aurait encore des Néandertaliens (excusez l’orthographe…) sur terre, dans certaines parties de la forêt Amazonienne… Ca serait étonnant non ? Ce n’est pas impossible, mais si c’est le cas, et si on les trouve, là ce sera moins marrant, car je les plaindrais… Les hommes Homo-Sapiens, traiteraient les hommes de Neandertal comme des animaux, pour les envoyer dans un zoo, au regard de tous le monde, qui payerai de quelques pièces pour s’amuser à regarder l’homme apeuré. Ou alors les scientifiques se serviraient d’eux pour faire des expériences en tout genre, histoire de faire accroitre la connaissance, je dirai plutôt la connerie humaine…
Ainsi étonnant soit-il, on parle de ces « on dit » ou légendes locales, au moment des déforestations, en particulier en Amazonie… Vous souvenez vous, il y a quelques mois, on parlait de d’une nouvelle tribut indigène, découverte en Amazonie… Ils étaient restés, comme à l’époque des Aztèques, Mayas, et Incas en tout genre… Ils ne connaissaient pas la technologie, effrayé par un avion, ils l’attaquaient complètement paniqués. Alors que la plupart des tributs indigènes connaissent la technologie, eux non… Imaginez le jour où ils vont avoir des hommes blancs très con devant pour les faire chier et les déloger histoire de vendre du bois… Ces indigènes ne connaissent pas le monde déchu par la connerie humaine, et tant mieux pour eux.
Imaginez ce que peut faire la déforestation, le Bigfoot va se déplacer en ville pour trouver des arbres, et prendre ses quartiers dans un parc de New York, car il y en a plus dans la forêt. Et le climat changeant, la fonde des glaces va obliger le Yéti à bouger sur le point le plus haut du Mont Everest. Des régions devenant aride, le monstre du Loch Ness va se dessécher au fond de son lac, ou alors tenter de ramper jusqu’à la mer, pour devenir un monstre marin. Et puis le père Noël viendra nous donner des cadeaux, en lunettes de soleil short et tong, comme dans l’hémisphère sud, ou alors il habitera en Antarctique.
Autodérision…
mercredi 29 octobre 2008
Coluche : l'histoire d'un mec...
Depuis le temps que j’attendais la sortie du film « Coluche : l’histoire d’un mec… », eh oui je suis fan de Coluche, je suis enfin allé voir le film au cinéma, samedi dernier, avec deux de mes potes. En plus, c’était l’occasion de tester le cinéma de Chartres « les enfants du paradis », car il a été refait.
Un film qui m’a pris dès le début, un film qui m’a touché, ému… Un film qui m’a foutu les larmes aux yeux, un film poignant et sombre, un film sur un homme qui voulait rendre la France et le monde bien plus vivable.
Antoine De Caunes signe un film excellent et de très grande émotion, François-Xavier Demaison joue Coluche d’une justesse a couper le souffle, je reste sur le cul devant ce film…
Le film terminé, je n’avais plus qu’une envie, c’était de mourir, c’est un compliment voulant dire que le film m’a vraiment touché…
Je ne sais comment vous donner envie d’aller voir ce film, mais que vous soyez fan ou pas de Coluche, allez le voir, précipitez-vous dans les salles rien que pour ce film.
dimanche 26 octobre 2008
Welcome pub
Un débat, entre nous trois (Maxime, Gaëtan et moi)…
Quand trois filles nous accostent, trois filles que nous ne connaissions pas, oui… Mais pas des filles comme les autres :
-la première, Sabrina, 37 ans, divorcée, 1 enfant, serveuse dans un bar de Chartres.
-la deuxième, Véronique, 43 ans, divorcée, 3 enfants, serveuse dans un bar de Chartres.
-la troisième, Agnès, 20 ans, maquée, pas d’enfant ; serveuse dans un bar de Chartres.
Des femmes adorables, un peu saoul pour Sabrina et Véronique, mais elles nous ont offert à mes potes, et à moi, un rayon de soleil dans la nuit. Comme un chemin à suivre, dont je ne prendrai pas la route tout de suite. Mais elles savaient lire chaque individu, elles voulaient connaître les mystères qui rongeait chacun de nous.
Que font trois jeunes dans un bar, réunis autour d’un verre, 1664 pour l’un et Smirnoff pour les deux autres… Buvez des cocktails, ça plait aux filles, et puis appelez des potes, des copines, faut faire la fête, pourquoi vous n’êtes pas en boîtes ?! La vie est une chienne, on en a qu’une, alors faut s’amuser ! Vos potes ne dorment pas, j’y crois pas, alors appelez-les, et puis vous avez fini de boire ? Bon je vous offre la même chose. Vous faîtes quoi ce soir ? Vous rentrez ???!!! Mais attendez ! Venez en boîte avec nous ! C’est le début de vos vacances, et vous allez vous couchez, vous branlez et dormir ???!!! Non ! Venez en boîte avec nous !
Elles avaient peur de nous faire peur, au contraire, elles étaient très accueillantes. Me faisant rire, elles décryptaient chacune de nos personnes. Comment faisaient-elles ? L’expérience mon p’tit gars, l’expérience…
Toi, tu es beau, et à voir ton regard, tu es triste malgré ton sourire. Une Smirnoff dans ta main, tu dois avoir une peine de cœur, une douleur énorme, tu étais fou amoureux, tu sais les filles y’en a des millions sur terre, même si c’est celle-ci que tu veux, bah si elle ne veut plus de toi, c’est qu’elle n’en vaut pas la peine, et arrête ta dépression.
Toi, je te prendrais dans mon lit, tu as les bras fermé, tu n’es pas ouvert aux autres, tu ne parles pas, ouvre-toi, affirme-toi et parle ! Tes mains, faut savoir quoi en faire, mets toi à l’aise comme ton pote. On ne va pas te violer, on est vos mamans ce soir.
Toi, tu as des lunettes, retire-les, voilà ! Tu es plus beau sans ! Ça change tout ! Tu es timide, les filles aiment les mecs timides.
Univers nocturne, conversation interminable, et tant mieux, je suis dans mon monde, accoudé à un bar, parlant avec des personnes franches, sans complexe, une rage de vivre. Un contraire de moi sur ce dernier point, mais pour le reste elles me ressemblent énormément, j’ai l’impression de me retrouver moi dans 15-20ans, et dans le sexe féminin.
La vision féminine de la vie, la vision sexuelle de la femme, elles en parlaient toutes les trois, et sans complexes. Drôles d’expériences, mais toujours bon à savoir, amusez-vous qu’elles nous disent, mais en fait elles étaient comme nous à notre âge, mais elles donneraient tellement de choses pour revenir à notre âge.
Et puis vous vouliez, qu’on aille en boîte, pas aujourd’hui, mais peut-être samedi prochain, car on remet ça. Véronique, où sont tes filles de notre âge ? Tu nous dis qu’elles ne sont pas comme nous, peut-être, j’en sais rien, j'donne ma langue au chagrin…
« Tirez-vous de la France, toi c’est bien tu pars en Australie, mais vous, barrez-vous »
Vous avez mis un rayon de soleil dans la nuit, et un sourire sur mes lèvres, échange de numéro avec Agnès, et puis on se reverra peut-être samedi prochain, pour parler de tout et de rien, de l'univers et de ce qu'il contient...
Elles se revoient 20 ans plus tôt, ça me fout le cafard, à couper aux couteaux…
samedi 25 octobre 2008
Pomme acide
Roulant depuis sa main ouverte comme un triste mégot, je roulais avec le sang de cette victime, en direction de la souffrance, je suis prisonnier dans un labyrinthe de miroirs, j’avance, me cogne aux images, à une vie... Je suis tombé de l’arbre il y a quelques jours, et je tombe de sa main maintenant. Et boum, je me cogne de nouveau à un miroir, reflétant la forêt, symbole de liberté et de pureté, je me souviens maintenant de mes origines, la mort pour moi s’est déjà matérialisée en arbre, et en biche d’Artémis. Non je ne suis pas Orion…
Je me remis à rouler, cherchant la fin de ce chemin, un fil d’Ariane coupé, et pourtant j’avance, cherchant désespérément la fin de ce labyrinthe d’un palais asiatique… Me cognant à divers images de ma triste vie, bientôt en compote. Un livre, une écriture libre, une douleur exprimée dans un style anarchique. Et qui ne plait pas, car trop dégouté par le n’importe quoi librement exprimé…
Plus loin, je trouvais un miroir cassé, tenant toujours debout, un don du sang, des traces de sang sur ce fameux miroir, comme un poignet lacéré, coupé et se vidant de son encre noir, eh oui, l’être devient pâle et sans âme, meurt à petit feu dans le silence et l’ennui. La mort est moins douloureuse que cette souffrance… Peu importe les gens s’occupent pas de savoir qui je suis, il n’ose pas me croquer, où alors une fois, juste pour tester, mais ils ont peur que je les empoisonne…
Un miroir m’arrose, m’envoyant une vague, me montrant la mer et l’océan, me rappelant le souvenir d’une nymphe, dévoilant son charme, l’envie de me noyer dans l’inconnu, d’aller vers cet unique univers. Roulant dans la forêt comme sur un rempart, un pirate jonglait avec moi dans sa main gauche, ne sentant plus le gout ou la saveur, il me jeta loin de la tempête maritime, pour me renvoyer dans un monde sous-terrain…
Le manège s’arrêta, il était tard dans la nuit, assis sur mon cheval, je compris que la dernière personne était partie… Je descendis du manège, le froid me fit vaciller, et le train passa comme une luciole dans la nuit… Un asticot me ronge…
Et je continue de rouler…
jeudi 16 octobre 2008
Dans son coffre à jouets...
"Mon envers de moi" de Romane Serda
"Mimi l'ennui" de Renaud
"Derniers baisers" de Laurent Voulzy
"Evidence" de Marilyn Manson
"Parce que c'est toi" d'Axelle Red
"Nemo" de Nightwish
lundi 13 octobre 2008
Développement personnel
Il y a quelques jours de cela, suite à une conversation entre mon prof de français et notre classe, une idée me vint à l’esprit, et vous savez à quel point mes idées peuvent être bizarres, n’est-ce pas ? Une idée qui parlerait de l’homosexualité, dans un développement personnel, les deux points vus extrêmes réunis dans la même copie… Comment corriger ceci ? Eh bien tentez de vous mettre à la place du prof correcteur de la copie ! Remarquez que je vais faire comme un développement personnel, c'est-à-dire intro, 1ère partie, 2ème partie puis conclusion. Alors là, l’introduction est en train de se faire, vu que vous êtes en train de la lire en ce moment même. Alors j’espère ne pas choquer dans mes propos les homosexuels, ce n’est pas le but, en plus je n’ai rien contre vous ! Vous verrez à la conclusion. Normalement il devrait y avoir une problématique qui devrait faire disserter sur l’homosexualité, mais la vrai problématique, bah c’est la réaction du correcteur, donc suite à ce que vous allez lire, quelle sera ou quelles seront les réactions du correcteur ? Pour tenter de vous mettre mal à l’aise, nous opposerons deux thèses, dans un premier temps, le point de vu d’un homosexuel, et dans second temps, nous étudierons le point de vu d’un homophobe.
Je trouve l’amour avec une femme assez dégueulasse, je n’aime pas le sexe de la femme ça me dégoute. J’aime le contact avec un homme, la virilité me prenant dans ses bras, je me sens plus rassuré, une femme ne peut m’apporter ça. Quand nous faisons l’amour, j’aime le sentir derrière moi, j’aime sentir son souffle chaud, ses mains qui me caressent le corps, je suis aux anges. J’aime montrer à mon homme que je l’aime aussi, passant derrière lui, lui faisant l’amour comme aucun homme ne lui a fait, lui faisant ressentir le plus de plaisir possible. Comment ne peut-on pas apprécier ceci ? Comment peut-on préféré une femme à un homme ? La femme ne peut pas, vous procurer ce plaisir là. Je ne dis pas qu’elle ne procure pas de plaisir, mais qu’elle ne procure pas le même plaisir, celui qui me fait fantasmer. Mais on ne critique pas les hétérosexuels, car l’amour prime avant tout. Et les lesbiennes diront la même chose, mais du point de vu de l’homosexualité féminine. Je suis bel et bien un homme, Polnareff nous le dit dans sa chanson « Je suis un homme », Renaud nous dira dans sa chanson « Petit PD » que ce n’est pas de ma faute, car c’est l’amour, quant à Aznavour, il dira que c’est la nature.
Et justement ce n’est pas la nature, c’est contre-nature ! C’est une attaque à la nature ! Les animaux ne sont pas homosexuels, ils sont tous hétérosexuels, la loi de la reproductivité, c’est une honte d’être un homosexuel, de coucher avec quelqu’un du même sexe. De faire l’amour en s’enculant, ce n’est pas réjouissant, et je me demande comment on peut bander en regardant un autre homme nu. Je trouve ça dégueulasse, c’est un affront à la femme, un affront à l’honneur de porter un enfant en elle. Les homosexuels veulent élever des enfants, mais comment voulez-vous que l’enfant puisse être « normal » s’il est éduqué par des homosexuels ? Il aura la même orientation sexuelle que les personnes qui élève l’enfant. On a l’impression d’être entouré que d’homosexuels, comme une épidémie. Point de vu positif de l’homosexualité : les lesbiennes font fantasmer les mecs hétéros. Coluche nous dira dans un de ses sketchs, les hommes ne peuvent pas se reproduire mais les expériences continuent.
Pour conclure, je dirais ce que je pense réellement, c'est-à-dire que je ne déteste pas les homosexuels, ils ne me dérangent pas, mais je trouve ça contre-nature, mais bon peu importe, si l’amour est là entre les deux êtres. Tant qu’ils ne me dérangent pas, y’a pas de problèmes. Je suis hétérosexuel à 200%, et jamais oh grand jamais je deviendrai homosexuel. Je ne comprends pas comment on peut faire l’amour en enculant, et quel plaisir on peut y prendre ? Et je n’ai pas envie de tester pour le savoir… Je relativise, plus y’a d’homosexuels hommes, plus y’a de femmes hétéros célibataires pour les mecs hétéros célibataires! Et puis j’ai quelques potes homosexuels, donc je suis loin d’être homophobe, mais je ne changerai pas d’opinion : c’est contre nature.
Voilà, fin du développement, encore une fois, ne prenez rien de mal, car mon but est de me mettre à la place du prof correcteur et non à la place d’un homosexuel ou homophobe qui lit ça. Merci de ne pas faire de scandale.
vendredi 3 octobre 2008
J'accuse
J'accuse l'état de vouloir s'en prendre directement à nos placements, nos épargnes et nos livrets, pour rembourser leurs conneries et leurs crises financières.
J'accuse l'état de nous prendre pour des cons.