samedi 5 décembre 2009

Sydney in love


Une p'tite photo que j'aime bien.
A little photo that I like well.


Un mur où je me vois bien autour d'un feu avec des amis, guitares et alcool.
A wall where I see me well around of a fire with friends, guitars and alcohol.


Sydney vu du Harbour Bridge.
Sydney by Harbour Bridge.


Les experts à Sydney.
CIS to Sydney.


J'aime bien cette fontaine où le sanglier bave.
I like this fountain where the wild board dribbles.


Ils ont de l'humour les australiens.
They are of the humour the australians.


Palmiers noirs probablement à cause du soleil.
Black palm tree probably thanks to sun.


Opéra de Sydney pour toujours.
Opera house forever.


J'aime bien cette photo aussi ^^
I like well this photo too ^^

Parfois, avec un simple téléphone portable on fait des photos sympas, on a l'impression qu'il fait une chaleur torride sous un soleil de plombs.
Sometime, with a simple mobile phone we make sympathic photos, we have the impression it does a torride hot under a blazing sun.


Un peu de nature au milieu de la ville.
A bit of nature in the middle of the city.


Non, je ne suis pas encore en prison, juste je suis sur le Harbour Bridge, et les barbelés c'est pour éviter les suicides, c'est cool, non? ^^
No, I am not again in prison, just I am on the Harbour Bridge, and the barbed wires it's for avoid the suicides, it's nice, no? ^^


Payons 120€ pour aller sur Harbour Bridge, non c'est mort mdr.
We paid 200Aud for going on Harbour Bridge, no it's die lol.


Le solitaire fort Denison.
The solitary Denison fort.



Cherchez l'erreur...
Search the mistake...


Un truc (Cathédrale St-Mary) qui peut, enfin presque, rivaliser avec la cathédrale de Chartres...
A thing (St-Mary's cathedral) who can, at last almost, to compete with the Chartres's cathedral...


Parfois on sait pas quoi faire, alors on écrit des trucs énigmatiques dans le ciel comme "appelle maman aussi".
Sometime we don't know what to do, then we write enigmatic things in the sky like "call mum too".


Dans la vie, il y a des cactus...
In the life, there are cactus...


Immeubles ou arbres?
Buildings or trees?


Un miroir géant.
A giant mirror.


Et pour finir je ne sais plus comment s'appelle ce pont!
And for finish I don't know what is the name of this bridge!

jeudi 26 novembre 2009

Who want to go to swim?









Et encore, j'oublie le léviathan et le monstre du Loch Ness...
And again, I forget the leviathan and the Loch Ness's monster...

dimanche 22 novembre 2009

Subjonctif


In English :


The river flow, the past is far, the future is near, the present don’t exist, at last for me, if I live in the present, I would be nombrilist, she is good your beer, she is good… Sometime we said that the world is little, I would like to be blind, to stay in this foster’s glasses, in this cigarette’s odor, in this metal’s music, but the river flow…


It reproach me to live in the past, it reproach me to live in the future, it reproach me to be baba-cool, it reproach me to be bisexual, it reproach me to be that I am… I’m a mirror, I’m that you want that I would be, I’m the reflection of that you send me.


It would like us to do to think at the future, then the nobodies are nombrilist, they want to live at day the day, only it have us always to live in the past, at the school, we learn the bullshits of our olds, that would be in history, in philo or other… The future, we don’t try to wake up, or to express. We search just to make to conceal us, it’s not supposedly at us of we occupy us of the future.


«Et oh oh oh, et une bouteille de rhum… »


En français :


La rivière coule, le passé est loin, le futur est proche, le présent n’existe pas, du moins pour moi, si je vivais dans le présent, je serais nombriliste, elle est bonne ta bière, elle est bonne… Parfois on se dit que le monde est petit, je voudrais être aveugle, rester dans ce verre de foster’s, dans cette odeur de cigarette, dans cette musique de métal, mais la rivière coule…


On me reproche de vivre dans le passé, on me reproche de vivre dans le futur, on me reproche d’être baba-cool, on me reproche d’être bisexuel, on me reproche d’être ce que je suis… Je suis un miroir, je suis ce que vous voulez que je sois, je suis le reflet de ce que vous m’envoyez.


On voudrait nous faire penser au futur, alors que les gens sont nombrilistes, veulent vivre au jour le jour, seulement on nous a toujours appris à vivre dans le passé, à l’école, on apprend les conneries de nos ainés, que ce soit en histoire, en philo ou autre… Le futur, on n’essaye pas de l’éveiller, ou à l’exprimer. On cherche juste à nous faire taire, ce n’est soi-disant pas à nous de nous occuper du futur, et pourtant…


«Et oh oh oh, et une bouteille de rhum… »


vendredi 20 novembre 2009

In english, please (2)

A Oxford, j'avais trouvé Zizzi comme nom de restaurant, à Sydney j'aurai trouvé Grocon, comme marque de je ne sais quoi.

In Oxford, I has found Zizzi like restaurant's name, in Sydney I has found Grocon, like mark of I don't know what.

dimanche 15 novembre 2009

Jules Bonnot


Suite au décès de sa mère, alors qu’il n’a que dix ans, Jules Bonnot abandonne les cours (qui se passaient mal de plus). Il entre en apprentissage à quatorze ans, mais n’est pas motivé par le travail et se dispute souvent avec ses patrons successifs. A quinze ans, il est condamné pour la première fois (pêche avec engin prohibé), puis une deuxième fois à dix-neuf ans (bagarre dans un bal). Il se marie après son service militaire (à l’âge de 25ans), ils partiront pour la Suisse, alors que son frère se suicidera par pendaison suite à un chagrin d’amour. C’est à cette époque là que Bonnot commencera à militer pour l’anarchisme (l’anarchie c’est l’ordre sans le pouvoir), et suite à cet engagement politique, il se fait virer des chemins de fer et plus personne n’accepte de l’engager. Sa femme tombera enceinte et l’enfant, Emilie, mourra seulement quelques jours après l’accouchement. Bonnot est toujours anarchiste et à une réputation d’agitateur qu’il le fait expulser de Suisse. Ils iront à Lyon, sa femme accouchera d’un second enfant, et Bonnot continue de dénoncer les injustices et mènent les grèves, s’attire les foudres des patrons. Il partira alors pour Saint-Etienne, ou il bossera en tant que mécano, il loge avec sa famille chez le secrétaire de son syndicat, Besson, qui devient l’amant de sa femme. Et pour échapper à la colère de Bonnot, Besson part en Suisse avec Sophie et son enfant. Son engagement sera de plus en plus fort, et sa fuite lui a fait perdre son emploi et il devient un chômeur miséreux comme beaucoup. De 1906 à 1907, il ouvre deux ateliers de mécanique à Lyon, en parallèle, il commet quelques casses avec son bras droit, Platano. En 1910, alors qu’il a 34ans il se rend à Londres, et devient le chauffeur de Sir Arthur Conan Doyle (le créateur de Sherlock Holmes).

En fin 1910, de retour à Lyon, Bonnot utilise une De Dion-Bouton comme technique criminelle, une révolution, alors que la police le recherche, il quitte Lyon avec Platano (qu’il tuera en cours de route), on ne connait pas la raison exacte.

Fin novembre 1911, Bonnot rencontre ses futurs complices au sein du siège du journal L’anarchie dirigé par Victor Serge. Il rencontre donc Octave Garnier, Raymond Callemin (Raymond la science), Elie Monnier (Simentoff), Edouard Carouy, Andrè Soudy et Eugène Dieudonné. Ils ont tous déjà commis de petits crimes, et veulent en faire de plus gros, et l’arrivé de Bonnot va les faire passer à l’étape supérieur. Malgré que l’idée de chef soit détesté par les anarchistes, Bonnot plus expérimenté dans le crime, jouera ce rôle.

Le 14 décembre 1911, Bonnot, Octave et Raymond la science volent une voiture, le 21 décembre à 9h, se présentent Bonnot, Garnier, Callemin et un probablement un quatrième homme, au 148 rue Ordener à Paris. Ils attendent le garçon de recette de la Société générale, qu’ils vont blesser grièvement, et récupérer sa sacoche, avant de prendre la fuite en dans la voiture qu’ils avaient volé. C’est la première fois qu’une voiture est utilisée pour commettre un braquage, et l’événement à un énorme retentissement. La bande se cachera chez Victor Serge qui sera arrêté plus tard pour être le soit disant cerveau de la bande, ce qui aura pour effet de révolter René Valey et André Soudy et rejoindront ainsi la bande.

Le 31 décembre 1911, à Gand, Bonnot, Garnier et Carouy tentent de voler une voiture, mais sont surpris par le chauffeur, que Garnier assommera et tuera un veilleur de nuit avec un revolver. Le 3 janvier 1912, à Thiais, Carouy avec Marius Metge, assassine un rentier et sa femme de chambre lors d’un cambriolage. Le 27 février 1912 Bonnot Garnier et Callemin, volent une voiture, et se font arrêter par un agent de police (l’agent Garnier) qui sera abattu par Garnier. Le lendemain à Pointoise, ils tentent de cambrioler un coffre-fort d’un notaire, mais surpris par celui-ci, ils sont contraint de s’enfuir en abandonnant le butin.

Pendant ce temps, Eugène Dieudonné sera arrêté pour complicité dans l’affaire de la société général, alors qu’il est innocent, juste ami avec la bande. Le 19 mars 1912, une lettre publiée dans Le matin, fait sensation, Garnier met au défi la police de l’arrêter, même s’il connait son sort, il innocente Dieudonné, il signera la lettre par son empreinte digitale.

Le 25 mars 1912, Bonnot, Garnier, Callemin, Monnier, Valet et Soudy, volent une limousine à Montgeron, après avoir tué le chauffeur et grièvement blessé le propriétaire. Puis se rendent à la succursale de la Société générale à Chantilly pour un braquage improvisé, ils abattent deux employés, entassent des rouleaux d’or et des billets de banques dans un sac, et regagnent la voiture. Les gendarmes alertés, mais disposant juste de vélos et de chevaux, laissent la bande s’enfuir.

Suite à ce dernier braquage, la police arrive à mettre fin aux activités de la bande. Ils seront tour à tour arrêtés. Et le 24 avril 1912, Louis Jouin numéro 2 de la sûreté nationale qui est chargé de l’affaire, perquisitionne à Ivry-sur-Seine au domicile d’un sympathisant anarchiste. Il reconnaitra Bonnot dans une chambre, mais Bonnot tuera Jouin à coup de revolver puis s’enfuira blessé suite à la fusillade. Bonnot se rendra alors chez un pharmacien, qui fera le rapprochement avec l’affaire d’Ivry et préviendra les autorités (ouh la balance…).

La police a ainsi une idée d’où se trouve Bonnot et passera la région au peigne fin. Le 27 avril 1912, la police le trouve dans sa cachette à Choisy-le-Roi, Bonnot se retranche dans sa maison, le chef de la Sûreté cerne la maison et attend des renforts. Un long siège commence, mené par le préfet de police Louis Lépine et sous le commandement du capitaine Félix Fontan de la garde républicaine. De plus en plus de troupes arrivent, dont un régiment de Zouaves avec des mitrailleuses dernier cri. Bonnot sort de temps en temps pour tirer sur ses ennemies, qui ripostent, mais Bonnot s’en sort toujours indemne. Puis Bonnot rédige son testament, alors que la police va mettre un terme au siège, ils feront sauter la maison à la dynamite. Grièvement blessé dans l’explosion, Bonnot arrive à finir son testament, dans lequel il innocente plusieurs personnes et à accueillir les policiers à coup de revolver. Il décède peu après en arrivant à l’Hôtel-Dieu de Paris.

Ce que je pense de tout ça : Tuer voler et pourquoi on l’aimait pas lui ? Pourtant il a fait les mêmes choses que Mesrine, et il a été buté aussi salement... Au moins Jules Bonnot revendiquait quelque chose, l’anarchie. Et puis Jules Bonnot a révolutionné quelque chose, la police mobile, eh oui, avant les flics étaient en vélo ou à cheval, mais dès l’utilisation de la première voiture pour un braquage, Georges Clémenceau créa les brigades du tigre, les premiers policiers à utiliser les voitures. La bande à Bonnot a nargué les flics et les a même révolutionné.

Conclusion : Y’a pas photo je préfère Jules Bonnot à Jacques Mesrine.


PS : Raymond la science monta sur l’échafaud avec le sourire aux lèvres. Content de mourir ? Ou plutôt comment narguer les flics jusqu’au bout! ^^

samedi 14 novembre 2009

The ultimate secrecy



In English :

Where I am adventuring me? A new adventure? A new novel? Or I’m surfing just on a flash?... To turn these pages in color for find of blood, but even through this blood, there is this spark who make me to shiver, the envy to discover the follow of the adventure, the envy to know the begin but never the end, that the history never stop. The envy that book make us to vibrate, that did a long time that the hours wasn’t pass quickly, in this context one hours become one second, we have never enough, we want most, more beautiful of drugs, but the more difficult. I would like to shoot me at your perfume, to become drunk me of your beauty, to drown me in your eyes, I want to lost me in your glance…

If you knew, that I would like so much to look at sleeping…

En français :

Où suis-je en train de m’aventurer ? Une nouvelle aventure ? Un nouveau roman ? Ou suis-je juste en train de surfer sur un éclair ?... Tourner ces pages en couleurs pour trouver du sang, mais même à travers ce sang, il y a cette étincelle qui me fait frissonner, l’envie de découvrir la suite de l’aventure, l’envie de connaître le début mais jamais la fin, que l’histoire ne s’arrête jamais. L’envie que ce livre nous fasse vibrer, cela faisait longtemps que les heures n’étaient pas passé aussi rapidement, dans ce contexte une heure devient une seconde, on en a jamais assez, on en veut plus, la plus belle des drogues, mais la plus dure. Je voudrais me shooter à ton parfum, m’enivrer de ta beauté, me noyer dans tes yeux, je veux me perdre dans ton regard…

Si tu savais, que j’aimerais tellement te regarder dormir…

« Eat me, drink me, this is only a game… »

(à Aurélie...)

mercredi 11 novembre 2009

Anecdote sur Coluche


In English :

The Coluche's black period begin in december 1981 after his divorce. He did a photo for the satirical newspaper Hara-Kiri, where he is with a long rifle 22, that he give to his best friend Patrick Dewaere. And will go for the Guadeloupe, he will invitethe wife of his best friend to him join, Miou-Miou. She will quit then Patrick Dewaere for Coluche. The 16 july 1982, Patrick Dewaere kill himself in pull a bullet in his head with the rifle that Coluche give him. Coluche fall in the depression, alcohol and drugs.

In 1982, Bertrand Blier, begin the turning of movie "My best friend's girl" in which must play Coluche, Patrick Dewaere and Miou-Miou. The movie is inspired of link between the three actors. But after the death of Patric Dewaere, Miou-Miou don't want make the role, very painful. Thierry Lhermitte and Isabelle Huppert replace Patrick Dewaere and Miou-Miou. The climate soft-land-mark of movie let to show through a change in the way to play of Coluche, preceding the dramatic role of Tchao Pantin.

En français :

La période noire de Coluche débute en décembre 1981 après son divorce. Il fit une photo pour le journal satirique Hara-Kiri, où il pose avec une carabine 22 long riffle, qu'il confiera à son meilleur ami Patrick Dewaere. Puis partira pour la Guadeloupe, il y invitera la femme de son meilleur pote à le rejoindre, Miou-Miou. Elle quittera alors Patrick Dewaere pour Coluche. Le 16 juillet 1982, Patrick Dewaere se suicide en se tirant une balle dans la tête avec la carabine que lui avait confié Coluche. Coluche sombre alors dans la dépression, l'alcool et la drogue.

En 1982, Bertrand Blier, commence le tournage du film "La femme de mon pote", dans lequel doit jouer Coluche, Patrick Dewaere et Miou-Miou. Le film est inspiré du lien intime unissant les trois acteurs. Mais après le suicide de Patrick Dewaere, Miou-Miou refuse d'assumer le rôle, trop douloureux. Thierry Lhermitte et Isabelle Huppert remplaceront Patrick Dewaere et Miou-Miou. Le climat doux-amer du film laisse transparaître un changement dans la façon de jouer de Coluche, préfigurant le rôle dramatique de Tchao Pantin.

vendredi 6 novembre 2009

the first photo


(1ère photo prise en 1826/ first photo take in 1826)

In english :

I think that the history could to begin in 1826, since the first photo, before we had that a vision between the writers's lines, or via the paints. Before we had a vision by autors, that it's not obligatoiry good. With the arriving of the photo, we had us vision, a direct vision on the history. Even if sometime we can there to fake...

En français :

Je pense que l'histoire pourrait commencer en 1826, depuis la première photo, avant nous avions qu'une vision entre les lignes d'écrivains, ou via les peintures. Avant nous avions une vision par des auteurs, ce qui n'est pas forcément bien. Avec l'arrivée de la photo, nous avions notre vision, une vision direct sur l'histoire. Même si parfois on peut les truquer...

vendredi 23 octobre 2009

Castor oil


(Vieille pute/old whore)

In English :

In the period of fascist Italy, under the government of Benito Mussolini, for make to say to speak these prisoners or for humiliate the politics adversaries, the one of instrument of fascists were the castor oil. Castor oil cause diarrhoeas, and at big dose, the diarrhoeas and the dehydration were if important that there training often the dead, and sometime to be sure that the victims dead, they add to petrol in the oil. Technique from to Gabriele D’Annunzio, he had of the humour…

En français :

A l’époque de l’Italie fasciste, sous le régime de Benito Mussolini, pour faire avouer leurs prisonniers ou pour humilier les adversaires politiques, l’un des instruments des fascistes était l’huile de ricin. L’huile de ricin provoque des diarrhées, et à forte dose, les diarrhées et la déshydratation étaient si importants qu’elles entrainaient bien souvent la mort, et parfois pour être sur que les victimes meurent, ils ajoutaient de l’essence dans l’huile. Technique provenant de Gabriele D’Annunzio, il avait de l’humour…

mardi 13 octobre 2009

He could not play


In English :

I walk in Sydney, I walk between the buildings, I walk it’s midday, I have quit my flats a bit time ago. I walk, in these streets, I cross the peoples, the white collars, the feminine beauty, the travelers… And, I stop me at a pedestrian passage, the time that past at green. A bizarre sound resound me at ears, a sound that I know, a music instrument, as that I played in college, a flute! Yes, I hear a flute, I hear this same sound, that when I was in college that we didn’t to play, that we amused just to blow in the flute invar to block the halls, yes It’s good that. This sound is near, I return me…

I see a man, a tramp stand counter the wall of a park, he is enough old, fatty and dirty, the sad face… He tent to win some money’s piece, there where the others tramps put just a peaked cap, a hat or a cardboard’s part with write “help me” for ask a piece, that certain play the guitar, violin or didgeridoo, for win too a money, him this tramp try to play the flute…

I have pity of him, I would like help him, I would like… But it’s not in my ability… And I have envy to spit on the face of all the states of the world, because they let to die of hungry peoples in the street, and they find this normal… I can just give a bit money, and give him an air to play of my remember of college, si la sol la sol miiiii ré mi ré mi laaaaa, he can to play something now, and he wouldn’t break the wayfarer’s ears, he would win perhaps a bit money, who know?

I am just an ephemeral, I do that to past in your life, you would see a certain time, and I would delete me, you would forget my name and who I am, such is my road, I am just an ephemeral…

« C’est écrit dans l’journal, j’l’sais, j’dors dedans… »

En français :

Je marche dans Sydney, je marche entre les buildings, je marche il est midi, j’ai quitté mon appart il y a très peu de temps. Je marche, dans ces rues, je croise les gens, les cols blancs, la beauté féminine, les voyageurs… Et puis, je m’arrête à un passage piéton, le temps que ça passe au vert. Un bruit bizarre me retentit aux oreilles, un bruit que je connais, un instrument de musique, comme celui que je jouais au collège, une flûte ! Oui, j’entends une flûte, j’entends ce même bruit, que quand j’étais au collège que nous ne savions pas jouer, qu’on s’amusait juste à souffler dans la flûte sans boucher les trous, oui c’est bien ça. Ce son est proche, je me retourne…

Je vois un homme, un clochard assis contre le mur d’un parc, il est assez âgé, gras, et sale, le visage triste… Il tente de gagner quelques pièces de monnaie, là où les autres clochards mettent juste une casquette, un chapeau ou un morceau de carton avec écrit «aidez-moi» pour demander une pièce, que certains jouent de la guitare, du violon ou du didgeridoo, pour gagner aussi de l’argent, lui ce clochard essaye de jouer de la flûte…

Il me fait pitié, je voudrais l’aider, je voudrais l’aider… Mais ce n’est pas dans mon pouvoir… Et j’ai envie de cracher sur la gueule de tous les états du monde, car ils laissent crever de faim des gens dans la rue, et s’en foutent… Je ne peux que lui donner un peu d’argent, et lui donner un air à jouer de mes souvenirs de collège, si la sol la sol miiiii ré mi ré mi laaaaa, au moins il jouera quelque chose et puis il ne cassera plus les oreilles des passants, il gagnera peut-être un peu plus d’argent, qui sait?

Je ne suis qu’un éphémère, je ne fais que de passer dans votre vie, vous me verrez un certains temps, et puis je m’effacerai, vous oublierez mon nom et qui je suis, tel est mon chemin, je ne suis qu’un éphémère…

« C’est écrit dans l’journal, j’l’sais, j’dors dedans… »


mercredi 7 octobre 2009

Les walkyries


In English :

Virgin female warriors, they serve Odin. They run the battles and they give the dead or in save the warriors. They are too a bit the hostess of the air of heroes, because they lead the heroes to Walhalla. After well, in the Odin’s palace, they serve too evenly to whores, for the heroes who fight each day after the dead… Ah, they are beautiful the virgins…

En français :

Vierges guerrières, elles servent Odin. Elles dirigent les batailles tout en donnant la mort ou en sauvant les guerriers. Elles sont aussi un peu les hôtesses de l’air des héros, car elles emmènent les héros au Walhalla. Après bon, dans le palais d’Odin, elles servent aussi également de putes, pour les héros qui se battent chaque jour après la mort… Ah, elles sont belles les vierges…

vendredi 2 octobre 2009

Destruction


(Vol d’Icare : projet n°2111234)

Article un peu maladroit, m’enfin vous comprendrez le but…

Informations (données par les médias) :

-la deuxième barrière de corail mondiale va être pollué par je ne sais qu’elle usine, soit disant pas de risques, mais ils n’ont pas fait d’études pour le savoir, et encore moins sur long terme, le pire de l’histoire c’est que l’état français et d’autres nations ou entreprises ont données de l’argent pour que l’usine puisse avancer, un gros tuyau est actuellement dans la barrière de corail, et est en train d’envoyer du souffre dans l’océan si je dis bien (j’ai pas eu la mémoire sur le coup). Personne n’essaye d’arrêter ça, sauf les quelques français créoles qui sont là-bas, mais en vain.

-les états foutent une taxe sur le carbone car on pollue trop, ou alors une taxe pour les fermiers car les vaches pètent.

-on détruit un endroit paradisiaque en Inde, pour récolter je ne sais quel minerai et donc gagner de l’argent.

Situation (vu par moi) :

On constate, on regarde, on est passif, c’est devenu normal de détruire notre planète, comme si c’était normal de violer sa mère. Voilà l’argent, source de maux, qui profitent de n’importe quelle situation pour s’enrichir encore plus. On pollue donc l’état nous montre du doigt en faisant des préventions écologiques « avec un geste c’est ma terre qui va mieux », et nous dit que ce n’est pas bien, faut pas polluer, donc on vous prend de l’argent pour que vous polluez moins, seulement ça restera dans la même situation. D’un autre côté ils donnent de l’argent à des usines qui polluent les barrières de coraux, mais qui font gagner de l’argent à l’état. Il est beau l’état…

Personne ne se révolte, tout parait normal, on court droit à la catastrophe, l’Arctique est en phase finale de fonte, et puis c’est normal… Personne n’a les couilles de faire une révolution pour sauver cette planète qu’on est en train de souiller, tous des poltrons, tous des lâches, cette planète est peuplé de lâche, qui ne savent que s’occuper de leurs petits plaisirs ou d’une foutu loi hadopi de mes couilles, c’est vrai que la loi hadopi c’est la fin du monde, par contre la fonte de l’arctique c’est rien de grave…

On me parle de cours, alors qu’on nous apprend même pas à aimer cette Terre, on nous apprend juste des formules pour la détruire… Je ne sais même pas si notre planète est récupérable, et vous vous en foutez de ça, car ce qui vous intéresse comme d’habitude c’est votre nombril, votre petit plaisir, vous vous foutez du futur, des générations suivantes, trop égoïste et lâche pour que ça vous tracasse…

Bientôt il y aura une révolution, ah oui, mais pas une révolution comme les autres… On appellera ça la troisième guerre mondiale, et qu’elle en sera la cause ? Le besoin d’avoir de l’eau et le besoin de nourriture, ah oui on se battra surement pour ça un jour.

Pour l’instant on cherche à gagner un maximum d’argent avec le pétrole, donc polluer un maximum jusqu’à la dernière goutte de pétrole, alors que c’est une ressource condamnée, on continue de l’utiliser, plutôt que d’utiliser des ressources comme l’électricité, le problème de l’électricité, c’est que ça rapporte pas autant d’argent donc l’état s’en fout…

Au départ, l’Antarctique devait être utilisé seulement à des fins scientifiques, et ne doit pas être utilisé pour vivre ou pour en extraire les ressources. Je parie que dans quelques années, on va changer ces lois pour pouvoir fumer ce continent, rien pour gagner du pognon.

Hypothétiques solutions (vu par moi) :

Je dois dire quoi là dedans, on veut aller sur la Lune, mettre des bases dessus pour récolter quelques minerais, tiens une bonne idée, seulement quand ça se fera, ça c’est une bonne question. Ensuite on peut aller sur Mars faire la même chose, même si on a découvert que l’atmosphère martienne détruisait ce qui était à base de carbone, on peut tout de même mettre des bases pour récupérer des minerais, y’a pas mal de ressources qui permettraient d’éviter de détruire la Terre, c’est sur on puise sur d’autres planètes, on les détruit aussi, mais au moins ça permettra de continuer de vivre un peu plus longtemps sur Terre. Après bien sur faut aller sur Mars, alors au départ on devait y aller en 2008 après ça était 2012 et maintenant c’est 2032, donc si ça continue jamais on va foutre les pieds sur Mars, car on a des incapables…

Et pourquoi ne pas faire des bases dans l’espace, on a bien ISS, on a bien eu MIR, on peut bien aussi faire une base plus grande pour accueillir des populations dans l’espace, réduire ainsi la population sur Terre, on a toute la technologie pour, et on ne fait rien, car on préfère gagner du pognon en détruisant la Terre.

Merde, on peut repousser nos limites, on peut visiter le système solaire, trouver des ressources pour la Terre.

On a tous les moyens pour arrêter ça, et on fait rien, au nom de quoi ? De l’argent ? D’un truc qui n’existe pas, des chiffres de mathématiciens, des trucs abstraits, des trucs qui n’existent pas et qui pourrissent la vie !

Anecdote :

J’ai assisté à une conférence de Bernard Werber en mars dernier, il disait quelque chose que j’ai retrouvé par la suite dans un de ses bouquins, « il n’est pas normal que les seuls personnes qui pensent au futur, soit les auteurs de science-fiction ou les visionnaires », et il a raison, même les scientifiques ne branlent plus rien pour le futur, l’état s’en fout, la population s’en fout. Pendant bien longtemps on a pris les auteurs de SF pour des charlots, pour des personnes ayant un pète dans le casque, on leur a fait fermer leurs gueules car ils voyaient bien souvent un futur noir et non pas paradisiaque. Eh oui, la vie n’a jamais été rose, et je pense qu’elle ne le sera pas tout de suite…

La seule chose que verront les générations futures à travers l’histoire du 20ème et du 21ème siècle (comme c’est partie), c’est que c’était une époque décadente et corrompue…

mercredi 30 septembre 2009

Australian animals

What is a bat tree? It's a tree where flower bats.
Qu'est-ce qu'un chauves-sourissier? C'est un arbre où poussent des chauves-souris.

How obtain a bat tree? Plant a bat...
Comment obtenir un chauves-sourissier? Planter une chauve-souris...

A kangaroo (between 1m50 and 2m) who take the pose.
Un kangourou (entre 1m50 et 2m) qui prend la pose.

Kangaroos who have smoke eucalyptus's leafs, look there are everywhere on the ground.
Des kangourous qui ont fumé des feuilles d'eucalyptus, regardez y'en a partout sur le sol.

A koala wake up, yes yes it arrive sometime...
Un koala reveillé, si si ça arrive parfois...

A bird, kookaburra, that I found funny.
Un oiseau, kookaburra, que je trouvais drôle.

His, he is all right exit of Merlin the wizard...
Lui, il est tout droit sorti de Merlin l'enchanteur...

In France, we have the pigeons, in Australia, there have the cockatoos...
En France, on a les pigeons, en Australie, ils ont les cockatoos...

That, I appoint that a australian hen, but I don't know the real name...
Ça, j'appelle ça une poule australienne, en fait je ne connais pas le nom réellement...

I lost the head, or how make a head with tail.
J'ai perdu la tête, ou comment faire un tête à queue.


A buddhist wallaby...
Un wallaby bouddhist...

And for finish, a wombat.
Et pour finir, un wombat.