Parfois, avec un simple téléphone portable on fait des photos sympas, on a l'impression qu'il fait une chaleur torride sous un soleil de plombs.
samedi 5 décembre 2009
Sydney in love
Parfois, avec un simple téléphone portable on fait des photos sympas, on a l'impression qu'il fait une chaleur torride sous un soleil de plombs.
jeudi 26 novembre 2009
Who want to go to swim?
dimanche 22 novembre 2009
Subjonctif
In English :
The river flow, the past is far, the future is near, the present don’t exist, at last for me, if I live in the present, I would be nombrilist, she is good your beer, she is good… Sometime we said that the world is little, I would like to be blind, to stay in this foster’s glasses, in this cigarette’s odor, in this metal’s music, but the river flow…
It reproach me to live in the past, it reproach me to live in the future, it reproach me to be baba-cool, it reproach me to be bisexual, it reproach me to be that I am… I’m a mirror, I’m that you want that I would be, I’m the reflection of that you send me.
It would like us to do to think at the future, then the nobodies are nombrilist, they want to live at day the day, only it have us always to live in the past, at the school, we learn the bullshits of our olds, that would be in history, in philo or other… The future, we don’t try to wake up, or to express. We search just to make to conceal us, it’s not supposedly at us of we occupy us of the future.
«Et oh oh oh, et une bouteille de rhum… »
En français :
La rivière coule, le passé est loin, le futur est proche, le présent n’existe pas, du moins pour moi, si je vivais dans le présent, je serais nombriliste, elle est bonne ta bière, elle est bonne… Parfois on se dit que le monde est petit, je voudrais être aveugle, rester dans ce verre de foster’s, dans cette odeur de cigarette, dans cette musique de métal, mais la rivière coule…
On me reproche de vivre dans le passé, on me reproche de vivre dans le futur, on me reproche d’être baba-cool, on me reproche d’être bisexuel, on me reproche d’être ce que je suis… Je suis un miroir, je suis ce que vous voulez que je sois, je suis le reflet de ce que vous m’envoyez.
On voudrait nous faire penser au futur, alors que les gens sont nombrilistes, veulent vivre au jour le jour, seulement on nous a toujours appris à vivre dans le passé, à l’école, on apprend les conneries de nos ainés, que ce soit en histoire, en philo ou autre… Le futur, on n’essaye pas de l’éveiller, ou à l’exprimer. On cherche juste à nous faire taire, ce n’est soi-disant pas à nous de nous occuper du futur, et pourtant…
«Et oh oh oh, et une bouteille de rhum… »
vendredi 20 novembre 2009
dimanche 15 novembre 2009
Jules Bonnot
samedi 14 novembre 2009
The ultimate secrecy
mercredi 11 novembre 2009
Anecdote sur Coluche
vendredi 6 novembre 2009
the first photo
vendredi 23 octobre 2009
Castor oil
mardi 13 octobre 2009
He could not play
In English :
I walk in Sydney, I walk between the buildings, I walk it’s midday, I have quit my flats a bit time ago. I walk, in these streets, I cross the peoples, the white collars, the feminine beauty, the travelers… And, I stop me at a pedestrian passage, the time that past at green. A bizarre sound resound me at ears, a sound that I know, a music instrument, as that I played in college, a flute! Yes, I hear a flute, I hear this same sound, that when I was in college that we didn’t to play, that we amused just to blow in the flute invar to block the halls, yes It’s good that. This sound is near, I return me…
I see a man, a tramp stand counter the wall of a park, he is enough old, fatty and dirty, the sad face… He tent to win some money’s piece, there where the others tramps put just a peaked cap, a hat or a cardboard’s part with write “help me” for ask a piece, that certain play the guitar, violin or didgeridoo, for win too a money, him this tramp try to play the flute…
I have pity of him, I would like help him, I would like… But it’s not in my ability… And I have envy to spit on the face of all the states of the world, because they let to die of hungry peoples in the street, and they find this normal… I can just give a bit money, and give him an air to play of my remember of college, si la sol la sol miiiii ré mi ré mi laaaaa, he can to play something now, and he wouldn’t break the wayfarer’s ears, he would win perhaps a bit money, who know?
I am just an ephemeral, I do that to past in your life, you would see a certain time, and I would delete me, you would forget my name and who I am, such is my road, I am just an ephemeral…
En français :
Je marche dans Sydney, je marche entre les buildings, je marche il est midi, j’ai quitté mon appart il y a très peu de temps. Je marche, dans ces rues, je croise les gens, les cols blancs, la beauté féminine, les voyageurs… Et puis, je m’arrête à un passage piéton, le temps que ça passe au vert. Un bruit bizarre me retentit aux oreilles, un bruit que je connais, un instrument de musique, comme celui que je jouais au collège, une flûte ! Oui, j’entends une flûte, j’entends ce même bruit, que quand j’étais au collège que nous ne savions pas jouer, qu’on s’amusait juste à souffler dans la flûte sans boucher les trous, oui c’est bien ça. Ce son est proche, je me retourne…
Je vois un homme, un clochard assis contre le mur d’un parc, il est assez âgé, gras, et sale, le visage triste… Il tente de gagner quelques pièces de monnaie, là où les autres clochards mettent juste une casquette, un chapeau ou un morceau de carton avec écrit «aidez-moi» pour demander une pièce, que certains jouent de la guitare, du violon ou du didgeridoo, pour gagner aussi de l’argent, lui ce clochard essaye de jouer de la flûte…
Il me fait pitié, je voudrais l’aider, je voudrais l’aider… Mais ce n’est pas dans mon pouvoir… Et j’ai envie de cracher sur la gueule de tous les états du monde, car ils laissent crever de faim des gens dans la rue, et s’en foutent… Je ne peux que lui donner un peu d’argent, et lui donner un air à jouer de mes souvenirs de collège, si la sol la sol miiiii ré mi ré mi laaaaa, au moins il jouera quelque chose et puis il ne cassera plus les oreilles des passants, il gagnera peut-être un peu plus d’argent, qui sait?
Je ne suis qu’un éphémère, je ne fais que de passer dans votre vie, vous me verrez un certains temps, et puis je m’effacerai, vous oublierez mon nom et qui je suis, tel est mon chemin, je ne suis qu’un éphémère…
mercredi 7 octobre 2009
Les walkyries
In English :
Virgin female warriors, they serve Odin. They run the battles and they give the dead or in save the warriors. They are too a bit the hostess of the air of heroes, because they lead the heroes to Walhalla. After well, in the Odin’s palace, they serve too evenly to whores, for the heroes who fight each day after the dead… Ah, they are beautiful the virgins…
En français :
Vierges guerrières, elles servent Odin. Elles dirigent les batailles tout en donnant la mort ou en sauvant les guerriers. Elles sont aussi un peu les hôtesses de l’air des héros, car elles emmènent les héros au Walhalla. Après bon, dans le palais d’Odin, elles servent aussi également de putes, pour les héros qui se battent chaque jour après la mort… Ah, elles sont belles les vierges…
vendredi 2 octobre 2009
Destruction
Article un peu maladroit, m’enfin vous comprendrez le but…
Informations (données par les médias) :
-la deuxième barrière de corail mondiale va être pollué par je ne sais qu’elle usine, soit disant pas de risques, mais ils n’ont pas fait d’études pour le savoir, et encore moins sur long terme, le pire de l’histoire c’est que l’état français et d’autres nations ou entreprises ont données de l’argent pour que l’usine puisse avancer, un gros tuyau est actuellement dans la barrière de corail, et est en train d’envoyer du souffre dans l’océan si je dis bien (j’ai pas eu la mémoire sur le coup). Personne n’essaye d’arrêter ça, sauf les quelques français créoles qui sont là-bas, mais en vain.
-les états foutent une taxe sur le carbone car on pollue trop, ou alors une taxe pour les fermiers car les vaches pètent.
-on détruit un endroit paradisiaque en Inde, pour récolter je ne sais quel minerai et donc gagner de l’argent.
Situation (vu par moi) :
On constate, on regarde, on est passif, c’est devenu normal de détruire notre planète, comme si c’était normal de violer sa mère. Voilà l’argent, source de maux, qui profitent de n’importe quelle situation pour s’enrichir encore plus. On pollue donc l’état nous montre du doigt en faisant des préventions écologiques « avec un geste c’est ma terre qui va mieux », et nous dit que ce n’est pas bien, faut pas polluer, donc on vous prend de l’argent pour que vous polluez moins, seulement ça restera dans la même situation. D’un autre côté ils donnent de l’argent à des usines qui polluent les barrières de coraux, mais qui font gagner de l’argent à l’état. Il est beau l’état…
Personne ne se révolte, tout parait normal, on court droit à la catastrophe, l’Arctique est en phase finale de fonte, et puis c’est normal… Personne n’a les couilles de faire une révolution pour sauver cette planète qu’on est en train de souiller, tous des poltrons, tous des lâches, cette planète est peuplé de lâche, qui ne savent que s’occuper de leurs petits plaisirs ou d’une foutu loi hadopi de mes couilles, c’est vrai que la loi hadopi c’est la fin du monde, par contre la fonte de l’arctique c’est rien de grave…
On me parle de cours, alors qu’on nous apprend même pas à aimer cette Terre, on nous apprend juste des formules pour la détruire… Je ne sais même pas si notre planète est récupérable, et vous vous en foutez de ça, car ce qui vous intéresse comme d’habitude c’est votre nombril, votre petit plaisir, vous vous foutez du futur, des générations suivantes, trop égoïste et lâche pour que ça vous tracasse…
Bientôt il y aura une révolution, ah oui, mais pas une révolution comme les autres… On appellera ça la troisième guerre mondiale, et qu’elle en sera la cause ? Le besoin d’avoir de l’eau et le besoin de nourriture, ah oui on se battra surement pour ça un jour.
Pour l’instant on cherche à gagner un maximum d’argent avec le pétrole, donc polluer un maximum jusqu’à la dernière goutte de pétrole, alors que c’est une ressource condamnée, on continue de l’utiliser, plutôt que d’utiliser des ressources comme l’électricité, le problème de l’électricité, c’est que ça rapporte pas autant d’argent donc l’état s’en fout…
Au départ, l’Antarctique devait être utilisé seulement à des fins scientifiques, et ne doit pas être utilisé pour vivre ou pour en extraire les ressources. Je parie que dans quelques années, on va changer ces lois pour pouvoir fumer ce continent, rien pour gagner du pognon.
Hypothétiques solutions (vu par moi) :
Je dois dire quoi là dedans, on veut aller sur la Lune, mettre des bases dessus pour récolter quelques minerais, tiens une bonne idée, seulement quand ça se fera, ça c’est une bonne question. Ensuite on peut aller sur Mars faire la même chose, même si on a découvert que l’atmosphère martienne détruisait ce qui était à base de carbone, on peut tout de même mettre des bases pour récupérer des minerais, y’a pas mal de ressources qui permettraient d’éviter de détruire la Terre, c’est sur on puise sur d’autres planètes, on les détruit aussi, mais au moins ça permettra de continuer de vivre un peu plus longtemps sur Terre. Après bien sur faut aller sur Mars, alors au départ on devait y aller en 2008 après ça était 2012 et maintenant c’est 2032, donc si ça continue jamais on va foutre les pieds sur Mars, car on a des incapables…
Et pourquoi ne pas faire des bases dans l’espace, on a bien ISS, on a bien eu MIR, on peut bien aussi faire une base plus grande pour accueillir des populations dans l’espace, réduire ainsi la population sur Terre, on a toute la technologie pour, et on ne fait rien, car on préfère gagner du pognon en détruisant la Terre.
Merde, on peut repousser nos limites, on peut visiter le système solaire, trouver des ressources pour la Terre.
On a tous les moyens pour arrêter ça, et on fait rien, au nom de quoi ? De l’argent ? D’un truc qui n’existe pas, des chiffres de mathématiciens, des trucs abstraits, des trucs qui n’existent pas et qui pourrissent la vie !
Anecdote :
J’ai assisté à une conférence de Bernard Werber en mars dernier, il disait quelque chose que j’ai retrouvé par la suite dans un de ses bouquins, « il n’est pas normal que les seuls personnes qui pensent au futur, soit les auteurs de science-fiction ou les visionnaires », et il a raison, même les scientifiques ne branlent plus rien pour le futur, l’état s’en fout, la population s’en fout. Pendant bien longtemps on a pris les auteurs de SF pour des charlots, pour des personnes ayant un pète dans le casque, on leur a fait fermer leurs gueules car ils voyaient bien souvent un futur noir et non pas paradisiaque. Eh oui, la vie n’a jamais été rose, et je pense qu’elle ne le sera pas tout de suite…
La seule chose que verront les générations futures à travers l’histoire du 20ème et du 21ème siècle (comme c’est partie), c’est que c’était une époque décadente et corrompue…
mercredi 30 septembre 2009
Australian animals
Qu'est-ce qu'un chauves-sourissier? C'est un arbre où poussent des chauves-souris.
Comment obtenir un chauves-sourissier? Planter une chauve-souris...
Un kangourou (entre 1m50 et 2m) qui prend la pose.
Des kangourous qui ont fumé des feuilles d'eucalyptus, regardez y'en a partout sur le sol.
Lui, il est tout droit sorti de Merlin l'enchanteur...
En France, on a les pigeons, en Australie, ils ont les cockatoos...
Ça, j'appelle ça une poule australienne, en fait je ne connais pas le nom réellement...
J'ai perdu la tête, ou comment faire un tête à queue.
Un wallaby bouddhist...