Me promener seule sur la plage, à repenser à ces derniers mois, à retracer les racines, ouais... La vie ne tient qu'à un fil, je suis au milieu de tout, et le fait de devenir petit à petit la dernière, je ne sais pas, je ne sais plus, ça fait 4, en un an.
Regarder la tempête, l'écume voler, ressentir la puissance des vagues, cette force capable de me terrasser, capable de me soulever. Quand vas-tu me noyer? Je ne suis pas Javert.
Et le fait de t'avoir revu, d'avoir compris que j'avais loupé quelqu'un, une histoire, de l'avoir compris dans ton regard, dans tes paroles, pourquoi attendre maintenant? Remarque : t'aurais-je vu finalement? Aurais-je profité de toi? Je suppose que non, tu aurais été trop absorbé par un boulot qui m'aurait dépassé, mais pour lequel j'ai respect... Je me serais rendue malade, jalouse, c'est sur, tu m'aurais recadré.
Finir par une amertume... Qui contrebalance avec l'espoir : il y a toujours de l'espoir et du positif, lorsque je ne trouve pas de trèfle à quatre feuilles. La chance n'est pas toujours du bon côté. Reste à voir ce que diront les marqueurs génétiques.
Je passe mon temps à lire et écrire, tout, sauf ce que je souhaite. Et puis voir autre chose... comme Marco Polo et Fernão Mendes Pinto à leurs époques. Devons-nous aider notre prochain? Même si ce n'est pas lui?
"On juge vite ce qu'on ne connait pas pour se convaincre qu'on le domine"
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