samedi 10 avril 2010

Comme un air de déprime...


On s'embrasse, on s'enlace, à l'arrière de la voiture, je découvre ta nudité, comme un air de déprime, tu me chevauches, m'embrasse, colle ton sexe contre le miens, te laisse pénétrer, mes mains qui caressent tes fesses, tu sautes sur mon sexe, ces vas-et-viens qui te font jouir, tu t'épuises, mais je continue à te faire procurer du plaisir, tu aimes ça, je passe au dessus histoire que tu te reposes, je t'embrasse, tout en te faisant l'amour...

Les vitres sont pleines de condensation, il fait chaud dans la voiture, et puis on s'arrête, tu es fatiguée, et j'ai joui à mon tour. Tu enfiles ma chemise, tu t'endors dans mes bras pendant que je caresse ton dos, je regarde l'avant de la voiture, un réverbère au loin qui éclaire la route, nous sommes bien cachés dans l'obscurité d'une impasse, d'un lavoir...

Tu somnoles, je détaille toutes les gouttes de condensation formée par notre envie bestiale, la lumière du reverbère passant à travers, je prends un plaisir fou à contempler les détails de la scène...

Je t'aime, t'en rends-tu compte?

1 commentaire:

Julien a dit…

Modification :

Tu somnoles, je détaille toutes les gouttes de condensation formée par notre envie bestiale, la lumière du reverbère passant à travers, je prends un plaisir fou à contempler les détails de la scène...
Je sourie d'un air étrange. Tu me demandes "quoi ?", d'un air suspicieux. Je te réponds "t'as fait une trace de pied sur la vitre", en ricanant bêtement.