-Mais pourquoi ? dit-il.
-Je ne peux pas, t’es vieux, t’es moche, et merde je mérite un peu de jeunesse ! s’exclama-t-elle.
-Moi, je suis vieux et moche ? dit-il étonné.
-Oui, donc je ne peux pas… acheva-t-elle. »
Je passais par là, par hasard, dans cette chambre, de la moquette rouge, partout sur le sol et sur les murs, une lumière tamisée mais pas trop. Je montais l’escalier qui montait dans la chambre, nous étions à l’étage, j’étais là pour une réparation, j’étais là pour venir voir la cadre, lui tenir compte de l’intervention. Habillé de ma blouse blanche, je ne pensais pas tomber sur cette scène.
Et elle me regarda, son regard si dur et si froid, elle a un caractère de con, j’ai du mal à la saquer… Elle me regarda, et m’interpela :
« -Hep ! Toi là !
-Justement je devais venir vous voir…
-On s’en fout de la réparation monsieur. Viens me prendre sur mon bureau, j’ai envie d’un jeune, et je n’ai pas envie de dormir avec lui. »
L’homme se tourna, il était vexé… Elle se leva du lit, elle était nue, elle était belle, je ne sais pas qu’elle âge elle a, mais elle est super bien foutue pour son âge, un physique de rêve, une poitrine proéminente qui me faisait loucher, des fesses si…
Elle se retourna, remis en place les draps, et autoritairement, elle dit en même temps à l’homme :
« Marc, tu as 55ans, j’en ai 45, j’ai un jeune de 20ans qui veut de moi, je ne vais pas m’en priver, et puis je ne peux pas, c’est impossible entre nous, tu ne me fais pas d’effet ! »
J’étais sous le choc, elle faisait monter en moi une pression qui ne demandait qu’à exploser. Elle me prit par la main, m’emmena dans une salle de bain, dont le carrelage tendait à être entre le rose et le rouge. Elle retira ma ceinture, baissa ma braguette, et me passa deux coups de langue sur le sexe, avant de me faire une rapide fellation pour me donner encore plus envie, ce qu’elle arriva sans problème, l’expérience, ça se voit…
Puis elle m’emmena sur une rambarde en bois, le vide en dessous d’elle, elle appuya ses bras sur la rambarde, tout en restant face à moi, et je l’ai prise, j’ai commencé les vas-et-viens, je lui ai fait l’amour, je l’ai fait jouir ! Et je me suis arrêté, je lui ai dit que ma copine m’attendait, elle était compréhensive, elle me laissa partir…
Je redescendis l’escalier, un pote m’attendait, il me dit « tu te rends compte que ça aurait pu être ta mère ? », je lui ai répondu un simple « mais ce n’est pas le cas… », et ma copine m’attendait, dans notre chambre au rez-de-chaussée… Je n’eus pas le temps de me déshabiller qu’elle fit une fellation…
"Baise-moi, baise-moi autant que je t'ai baisé..."
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