mardi 31 octobre 2017

Happy Halloween



Vous connaissez surement cette histoire? Non? Alors... laissez-moi vous la raconter!

Il était une fois, une femme... Un peu dépressive, même beaucoup! Elle était suivie par un psy, le cas était pris au sérieux, car le risque qu'elle fasse une bêtise était vraiment non-négligeable. Mais cette femme n'était pas internée, ni suivi H-24. Elle avait juste des rendez-vous régulièrement chez son psychiatre adorée qui lui prescrivait des médicament à dormir debout, genre anxiolytique. Vous savez-ce genre de médicament qui peut détruire des vies?

Un jour que notre femme était chez elle, dans sa charmante maison, au milieu d'une rue avec des voisins charmants. Elle s'occupa de son bébé. Oui! Elle était maman, et par deux fois! D'une adorable petite fille de 3mois, et d'une adorable petite fille de 3ans. Un jour, ou plutôt devrais-je dire un milieu d'après-midi. Elle mit notre adorable bébé a dormir dans son petit lit douillet à barreaux (genre de cellule pour bébé).

Mais le bébé ne dormi point. Il hurla, hurla, hurla... Pleura, pleura, pleura... Sans cesse! Sans jamais s'arrêter, la mère essaya de calmer ce pauvre bébé... Mais rien ne fit changer la situation. Les pleurs étaient de plus en plus pesant. Une seconde se transformant en éternité dans ces cas là. Le stresse, la dépression, ces hurlements devenaient une vraie torture psychologique, et vrai mal à éradiquer. Et les anxiolytiques ne servent à rien.

Ni une ni deux, la mère jeta avec une violence extrême son bébé contre un mur. Tuant le pauvre bambin sur le coup. La fille de 3ans, quant a elle, voyant la scène, se mit a avoir une crise d'angoisse. Elle descendit l'étage, pour arriver dans le salon, et faire une crise de pleurs à son tour sur le canapé. La mère voyant ce nouveau mal arriver, décida pour y couper court, de prendre un des oreillers sur le canapé. Et elle l'utilisa pour étouffer les cris et pleurs de sa fille de 3ans. Tuant la seconde de ses filles.

Quelques minutes après, la mère reprenant ses esprits, et contemplant l'entendu du désastre, essaya de mettre fin à ses jours. Elle tenta de se pendre aux barreaux de l'escalier. Manque de chance, le père rentra du travail à ce moment-là, il réussi à la sauver in extremis. Elle fut hospitaliser, elle n'a jamais été condamné et le père a essayé de recoller les morceaux avec sa femme, mais en vain... La femme fut internée.

Quant au père, c'était sa deuxième femme, sa deuxième vie, la deuxième fois qu'en revenant du travail, il tombait sur une situation un peu loufoque. Car sa première femme, un jour qu'il rentrait de son bureau, était partie, elle, ses deux premiers enfants, et les affaires. Il était rentré chez lui, la maison vide, au point que les murs résonnaient au moindre bruit. Pas un mot, pas une explication. Plus aucune nouvelle depuis. En l'espace de quelques temps il avait perdu 2 femmes, et 4 enfants.

Happy Halloween mes enfants! Car cette histoire est vraie, elle est arrivée dans la maison voisine à la mienne! Drôle d'histoire, vie de merde pour le père. Heureusement la maison vient d'être vendue, pour vivre une nouvelle histoire...

vendredi 20 octobre 2017

Boire et conduire

Après quelques verres d'un alcool un peu trop fort, les idées les plus créatives se libèrent. C'est en faisant monter les degrés qu'une partie de moi commence à se livrer au monde extérieur, ou bien à mon monde intérieur.
Je me laisse envahir par quelques paroles d'un Julien Doré :

"Sur la plage coco câline,
Ton corps scie les vagues,
Sous ce cœur que j'imagine ,
Un baiser nuit noire,
Dans tes yeux coco divine,
Viens la pluie hélas,
Je te veux sous l'eau marine,
O désir des astres."

Douceur, amour, c'est comme une porte qui s'ouvre sur ce monde intérieur, ce jardin secret que chacun d'entre nous garde au plus profond de lui, un dédale...

M'entends-tu à cette distance?
M'entends-tu à travers le temps?
Eh le cortex!
J'te cause!

Tu me donneras comme seule et unique réponse, des étourdissements à tout-va. Et comme un vieux serpent, tu t'enrouleras autour de moi, et tu m'endormiras au volant de ma voiture, seule et dans le noir absolu.
Je me réveillerai avec un phare dans les yeux, comme si de rien n'était. J'oublierai presque ces instants au dessus de ce cercueil, à rêver de ces retrouvailles, entre une étoile et son ombre.

jeudi 12 octobre 2017

Nous n'irons plus au bois

Nous n'irons plus aux bois
Les lauriers sont coupés
La belle que voilà la laiss'rons nous danser
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez.

La belle que voilà la laiss'rons nous danser
Et les lauriers du bois les laiss'rons nous faner
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez.

Non, chacune à son tour ira les ramasser
Si la cigale y dort, ne faut pas la blesser
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez.

Le chant du rossignol la viendra réveiller
Et aussi la fauvette avec son doux gosier
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez.

Et Jeanne, la bergère, avec son blanc panier,
Allant cueillir la fraise et la fleur d'églantier
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez.

Cigale, ma cigale, allons, il faut chanter
Car les lauriers du bois sont déjà repoussés
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez.

Comptine pour enfants, écrite par Madame de Pompadour. Le véritable sens est juste une chanson sur l'interdiction des maisons de prostitutions pendant le règne de Louis XIV.
Attention à ce que l'on chante aux enfants, par exemple Dansons la capucine, ancien chant révolutionnaire...
Bientôt la Marseillaise dans les comptines!
Remarque : à l'époque de Louis XIV, XV ou même XVI, peut-être avant, peut-être après...  Les nourrices masturbaient les jeunes garçons pour qu'ils s'endorment mieux... Alors bon une comptine...