vendredi 20 octobre 2017

Boire et conduire

Après quelques verres d'un alcool un peu trop fort, les idées les plus créatives se libèrent. C'est en faisant monter les degrés qu'une partie de moi commence à se livrer au monde extérieur, ou bien à mon monde intérieur.
Je me laisse envahir par quelques paroles d'un Julien Doré :

"Sur la plage coco câline,
Ton corps scie les vagues,
Sous ce cœur que j'imagine ,
Un baiser nuit noire,
Dans tes yeux coco divine,
Viens la pluie hélas,
Je te veux sous l'eau marine,
O désir des astres."

Douceur, amour, c'est comme une porte qui s'ouvre sur ce monde intérieur, ce jardin secret que chacun d'entre nous garde au plus profond de lui, un dédale...

M'entends-tu à cette distance?
M'entends-tu à travers le temps?
Eh le cortex!
J'te cause!

Tu me donneras comme seule et unique réponse, des étourdissements à tout-va. Et comme un vieux serpent, tu t'enrouleras autour de moi, et tu m'endormiras au volant de ma voiture, seule et dans le noir absolu.
Je me réveillerai avec un phare dans les yeux, comme si de rien n'était. J'oublierai presque ces instants au dessus de ce cercueil, à rêver de ces retrouvailles, entre une étoile et son ombre.

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