samedi 8 décembre 2018

The man who sold the dream

Un son, une musique, v'là que Juliette me donne les larmes aux yeux. J'ai mal en l'écoutant : cette chanson, c'est "nous".
Je repense à notre première fois, à nos regards qui se croisaient, à tes lèvres quand tu prends ton pied, à ton sexe sur lequel j'aime balader ma langue et mes doigts...
Ton odeur, notre odeur me manque...
Ton regard, nos têtes hébétées pleines de passion, cette fusion...
Je ne suis rien sans toi, juste l'ombre de moi-même.
Je t'aime...

samedi 24 novembre 2018

Néfle

Tes mains...
Ton odeur...
Ton regard...
Ton sourire...
Ta peau...
Tes lèvres...
Ces papillons dans le ventre...

Je t'aime...
Tu me manques...
Mon amour...

mercredi 21 novembre 2018

FYJB

Full yellow jacket boulette

Un début de jacquerie : je comprends que les fins de mois soient durs, je comprends oui, néanmoins je sais gérer un budget et ne pas vivre au-dessus de mes moyens. Bloquer des travailleurs, des gens comme vous, des gens qui vont bosser et qui sont dans la même merde que vous! Est-ce là l'intelligence? Je trouve clairement très... con, abruti, pute, merde, enfin ce que vous voulez! Vous êtes aussi putes que Macron! VOUS VOUS TROMPEZ DE CIBLE!!!!!

Cette même violence utilisé par nos chers dirigeants : divisé pour mieux régner, et qui c'est qui les a élus? Nous!!! Si vous souhaitez tant que ça exprimer votre mécontentement, faudrait monter sur Paris aux portes de l’Élysée, fracasser les portes du palais et choper notre grand dieu, et lui rappeler qu'il n'est qu'un homme comme les autres. Ça ne sert à rien de foutre un merdier d'enfer sur des ronds-points en mode village people - casseur - fils de pute - raclure de merde - stabilo.

"C'est dur le manger!
-EH! Commence par arrêter de boire, poivrot! T'es rouge comme un cubi!"

L'essence et le gazoil trop cher, eh oui... C'est ballot! En 2017 vous avez choisi d'élire une pute (certes parmi un lot de putes). Maintenant il ne faut pas venir vous plaindre, vous l'avez décidé ainsi bande de cons! Les français sont des burnes! Un pays de crétins, un pays sur lequel on devrait demandé à Pyongyang de jeter quelques missiles nucléaires, faut pas que ça se reproduise des cons comme ça.

En 1789, il y avait la révolution avec les sans-culottes qui n'avaient plus de quoi bouffer et qui s'en prenait à la monarchie, aux dirigeants... aujourd'hui on a des gilets jaunes qui pleure devant du carburant en faisant chier les travailleurs, une clope à la main en train de te dire que c'est dur les fins de mois... à 10€ le paquet par jour? WTF

Vous pouvez voir que les chômeurs ne bougent pas spécialement pour cette manifestation. Ça occupe les casseurs et les beaufs, pendant que nos dirigeants se divertissement devant ce spectacle où des guignols se tapent à coups de gourdins.

Montez à l’Élysée, et je vous suivrai! Défoncer les radars à coup de disqueuse, carrément! J'aime les voir par terre, la tête dans l'herbe! C'est une très bonne cible! Bloquer les préfectures, le sénat, l'assemblée, etc! Et nourrissez-les avec une pizza pour cinquante personnes! Mais pas les travailleurs! Pas les gens comme vous, qui sont dans le même merdier que vous! Bloquer les dirigeants des groupes comme Leclerc, Carrefour, Total, Intermarché, etc... Les mecs qui nous rackettent à longueur de temps. Mais pas les travailleurs... et pas les accès aux soins...

Et puis bloquer les routes pour paralyser le pays, et laisse juste les camions passer, c'est comment dire... contradictoire!

samedi 10 novembre 2018

Peter Pan


 Quand James Matthew Barrie écrivit Peter Pan, il était évident que l'auteur avait perdu un frère jeune. Et qu'il avait transposé son souvenir dans le personnage de Peter Pan. Un garçon qui ne vieillirait jamais et qui pouvait vivre maintenant des histoires extra-ordinaires... Un garçon mort auquel on suppose une vie après la mort.

La douleur, de perdre un enfant, est terrible pour un parent. Cette douleur marquera le parent jusqu'à la fin de ses jours. Il n'est pas normal d'enterrer la chair de sa chair avant soi : le deuil ne se fera jamais, et ça reste jusqu'à notre mort, ça nous maintient même en vie. Mais ça ronge, ça détruit, c'est dévastateur.

Le suicide est un acte courageux, il faut avoir beaucoup de force pour mettre fin à ses jours, ce n'est pas anodin également. Car quel malêtre peut nous pousser à raccourcir encore plus cette vie d’éphémère? Pensons-nous à ceux qui nous aiment lorsque l'on décide de mettre fin à nos jours? Des questions sans réponse probablement, car les morts sont morts parait-il...
La maladie peut donner une raison, le suicide aucune... Impuissance et fatalité devant des yeux fermés.

La carne reste, les saloperies ne meurent pas, pourquoi? Ils sont trop imbus d'eux-mêmes, ils s'aiment trop pour ne pas se suicider. La remise en question, ils ne connaissent pas.

On a passé beaucoup de temps ensemble pendant notre enfance, sport et collège. On rigolait bien, dommage que ça a toujours été un peu tendu à cause de la connerie des adultes à l'époque. Je me souviens d'un soir d'Halloween... Et puis merde...

Repose en paix, Nico, mon vieil ami...

mardi 28 août 2018

Parce que

...une canine dans la poitrine,
une canine qui m'assassine...

Parce que tu me manques...
Parce que je ne dors pas la nuit...
Parce que j'ai l'impression d'être amputé...
Parce que ta peau...
Parce que tes mains...
Parce que ta tête posée sur mon corps...
Parce que ton regard de braise...
Parce que je t'aime...

Parce que j'ai envie de me prendre une murge au champagne De Castellane ou Mercier, peu m'importe... A Crozon, de m'allonger dans l'herbe sur la Pointe de Lostmarc'h. Sentir le souffle du vent sur mon corps, regarder la grisaille avec une légère pluie qui me tombe sur le visage, avec ce fond sonore de l'océan qui vient se fracasser sur les falaises de la Presqu'île. Enfin me noyer...

lundi 23 juillet 2018

Polydactylie


C'est embêtant quand même... On utilise quel doigt pour le mettre dans l'oreille? Comment qu'on fait un fuck maintenant? Hum?

Bon aller je vous fais un p'tit coucou :

dimanche 15 juillet 2018

La baballe

En ce dimanche de finale de coupe du monde, comment réussir un bon barbecue :
-rien de mieux que des grillades de poulets
-alors vous préparez une voiture
-allumer à feu doux
-n'hésitez pas à asperger un peu d'essence pour raviver votre feu et donner un goût unique à votre poulet!

PS : Je vous encule tous avec votre foot de merde! Crevez la gueule ouverte bande de raclures :-)

vendredi 13 juillet 2018

Un monde parfait

Quand la baballe régit le monde... mais pas le miens.

"Toute la misère du monde, n'est rien à côté d'un adieu..."
disait Daniel Balavoine...



Me serrer à toi, à ton corps, quand nous dormons, quand tu sues et que ça m'imprègne de ton odeur, ça me manque...

Je t'aime...
Tu me manques...
Putain...

vendredi 22 juin 2018

Adolf


En 1936, Hitler radicalise ses opinions antisémites. Plusieurs congrès pour annoncer qu'il était nécessaire d'anéantir le peuple juif. Il l'a dit, et il l'a fait!
Un gars bien et honnête! Pas excusable, mais on peut lui faire confiance sans soucis, et continuer les yeux fermés avec lui à la tête de l'Allemagne! Et de cette future guerre mondiale...
Humour noir...

jeudi 21 juin 2018

CERFA N°11530*05


Quelques définitions :

Cancer neuro-endocrinien : rhume viscéral, un doliprane et ça passe.

Fatalité : C'est ce que l'homme ne peut pas éviter (la mort). Par exemple, l'expression « C'était fatal » signifie « C'était prévu », « Cela devait arriver ».

Manipulation : Action d'orienter la conduite de quelqu'un, d'un groupe dans le sens qu'on désire et sans qu'ils s'en rendent compte.

Le cancer, c'est chic non? Vous ne trouvez pas?
Je ne suis pas fataliste, car pour moi le fatalisme c'est quelque chose que l'on souhaite au fond de nous.
Je ne manipule que rarement, juste pour obtenir des infos pour ma curiosité malsaine à vrai dire.

Peut-être ai-je oublié qui j'étais, n'ai-je pas assez pensé à moi? Je me suis oublié... probablement.
Ma mère malade, ça changera pas le monde, c'est normal a priori, il y a d'autres malades, bof qu'est-ce qu'on s'en fout en fait, faut pas t'en faire : qu'elle crève.
Une gamine?  Pourquoi se retourner sur elle, quand elle grandira elle s'en foutra de son parent, elle te fera un gros fuck pour grandir loin des parents, l'impression d'abandon? Bof qu'est-ce qu'on s'en fout en fait : laisse-la derrière toi.
Une baraque, des pierres? du fric? T'inquiètes, t'es pas alone dans cette situation, y'en a d'autres, bof qu'est-ce qu'on s'en fout en fait, c'est pas ma tune mec.

En fait c'est simple d'avoir réponse à tout! Suffit de ne pas être à ma place et de regarder la situation passivement! Pourquoi n'y ai-je pas pensé?! Personne ne peut être à ma place, mais chacun a des leçons à me donner (ou des conseils), même quand on ne me connait pas, on se le permet, et oui, car tout le monde est le meilleur, et tout le monde à le savoir absolu, tout le monde à cette prétention. A vrai dire, c'est simple de donner des leçons (c'est comme donner des conseils à un auteur sur comment faire un bouquin, quand celui-ci en a déjà sorti, sérieusement...)... Et tout le monde a un grand cœur, et sait mieux que quiconque ce qui doit être fait. Tout le monde a le même vécu, je le redis encore une fois : tout le monde est le meilleur, je n'en doute pas une seule seconde, si vous le dîtes c'est que vous avez raison. Mais n'oubliez pas, ce n'est pas parce qu'ils sont plusieurs à dire la même chose, qu'ils ont forcément raison : les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Et dès le moment où j'ai mis un pied dans cet engrenage, je savais dès lors qu'il y allait avoir de la casse.

Le nous, c'est quand nous faisons l'amour, qu'on se voit sans prise de tête, que nos regards se bouffent, ça me fait vibrer, ça me fait fondre. C'est toujours là au fond de moi. Ce nous, c'est toi et moi, à parler de tout et de rien, à refaire le monde dans un lit, à manger des viennoiseries dans un canapé, à s'aimer, à se regarder, à se dire je t'aime, à se faire jouir, car oui j'aime te faire jouir, c'est magnifique de te voir prendre ton pied.
J'aime ces moments à se découvrir, nos coïncidences, nos goûts...
J'aime ces putains de moments à se balader, à se voir peu importe l'instant, juste se voir, toi et moi. J'aime ces putains de baisers, quand nos langues se touchent, ces chocs électriques sur les papilles, ces papillons dans nos ventres.
J'aime ces putains de moments où tu t'endors sur moi, j'aime ces putains de moments où l'on se regarde se laver comme deux grosses tanches hébétées.
J'aime cette passion entre nous, ce feu ardent...
Je t'aime terriblement...
Et tout ça, je crois que tu l'as oublié...

Et pourtant l'amour et la haine sont très similaires, il en faut peu pour basculer de l'un à l'autre et me prendre un putain de crachat pleine gueule. Si être honnête c'est ça, se prend tout pleine gueule pour avancer, eh bien... moi perso je n'ai pas besoin de recevoir de crachats en pleine face, sans cesse, a subir un venin entre les dents, non non... Autant insulter directement, ça revient au même, c'est la même finalité, sauf que l'on paraît plus droit sans ça : suffit de prendre un Eric Zemmour pour comprendre ce qu'est un discours ordurier sans la moindre insulte, ce n'est pas de l'intelligence, mais de la connerie. S'il faut être honnête, alors ce soir là, tu as fait honneur à ton nom, car ce n'était pas toi que j'avais vu dans ton visage, mais lui, son portrait craché...

J'ai cette impression que l'amour n'est qu'à sens unique, j'ai l'air fine avec mes roses : j'ai appris que l'amour se résumait qu'à un bout de papier... Non pas une lettre d'amour, ni même un poème, car ce bout de papier on le nomme Cerfa... Encore faudrait-il savoir ce qu'est un simple contrat que l'on signe et que l'on paye avant de me dire ce que je dois faire dans des procédures de justice de merde que j'encule, car là ce n'est pas un contrat, mais un combat dans lequel on se prend des sacrés coups dans la gueule. C'est nul de cracher du venin...

Séparation, maladie, gamine, baraque... Une main tendue aurait juste été appréciable. Mais tous prendrons ton parti, ne t'inquiètes pas, ma vie n'est pas la tienne, on n'a pas besoin l'un de l'autre me dis-tu. Tu as eu raison d'agir comme ça, ils te rassureront, ils te le diront tous : tu as eu raison, cette personne n'en valait pas la peine, c'est une merde. Après tout, ça ne fera qu'une personne de plus qui me crachera à la gueule. Perdu... Comme les sonneries de téléphone dans le vide, dans la nuit... Je t'ai perdu... Et non pas l'inverse...

Et sinon? Mon psy se porte bien. Ah si... J'ai cette chanson dans un coin de ma tête :

samedi 19 mai 2018

Contradiction


L'homme a toujours été considéré comme un être supérieur parce qu'il est doté de conscience. Cette conscience dont l'homme s'énorgueille n'est réellement qu'une infime partie de sa vie psychique et la grande majorité de ce qui se passe dans son esprit échappe totalement à son contrôle. Ainsi, la quasi-totalité de nos choix ou de nos motivations prend sa source dans notre inconscient. L'inconscient est une sorte de réservoir dans lequel se trouvent des pensées, des souhaits, des sentiments et des souvenirs que l'esprit a refoulés, c'est à dire en quelque sorte tenté d'oublier. Le conscient est la partie émergée de l'iceberg que constitue notre esprit : ce sont les pensées, émotions et perceptions accessibles, conscientes. Le préconscient, enfin, représente une zone intermédiaire entre conscient et inconscient, où les informations sont accessibles si l'on se donne la peine de les chercher.

Chaque personne a des pulsions, des envies souvent embarrassantes, qu'elle s'efforce de maintenir dans l'inconscient. L'homme n'est pas, à la base, un être de raison (je pense donc je suis, c'est de la connerie), un être de pulsions, qui s'efforce, chaque jour, de les juguler, mais qui doit dépenser beaucoup d'énergie pour cela. Ainsi la personnalité de chaque individu est issue du conflit entre les pulsions inconscientes particulières et les contraintes sociales qui l'empêchent de céder à ces pulsions. Mais ces dernières l'influence beaucoup malgré tout, s'exprimant souvent formes déguisées, à traver ses choix, ses rêves, ses actes manqués ou ses lapsus : le propre de ces pulsions est d'essayer par tous les moyens de remonter à la surface pour être satisfaites et l'esprit a des mécanismes pour se défendre des incessantes attaques pulsionnelles.

L'inconscient représente un peu le diable qui se prélasse en chacun de nous. l'inconscient est ce que l'on appelle un réservoir d'énergie psychique : il représente toutes nos pulsions de survie, de plaisir, d'agressivité. De plus, il est soumis au principe de plaisir : cela signifie qu'il cherche seulement un plaisir, une gratification immédiate. En d'autres termes, il n'a en quelque sorte aucune résistance à la frustration et souhaite que tous ses désirs soient exaucés immédiatement. Il ne fait aucune attention aux autres ou à l'environnement. La meilleure façon de se représenter l'inconscient serait de la voir comme un bébé, un nouveau-né. Quand un bébé a faim, il pleure jusqu'à ce qu'on le nourrisse, en ne faisant absolument pas attention à l'état de ses parents ou à son environnement.

Le préconscient représente toutes les contraintes que la vie en société nous demande d'intégrer et de respecter. Ce sont toutes les règles, toutes les lois, explicites ou implicites que nos parents, l'école, la société nous imposent. Certaines de ces lois sont les mêmes pour tout le monde, comme "je ne dois pas tuer d'autres personnes". Mais d'autres peuvent sembler plus personnelles comme "je dois être gentil pour être aimé", surtout dans l'interprétation que nous en faisons et qui conditionne nos actions. Le préconscient, c'est le juge intérieur inflexible qui évalue nos actions d'un point de vue moral. Il représente une sorte d'idéal, de code de bonne conduite, qui dit comment l'on doit se comporter : il est représenté comme une série d'injonctions que l'on se donne à soi-même. Très dur, très exigeant et nous pousse à être parfait : il provoque, selon qu'on respecte ses règles ou pas, de la fierté ou de la culpabilité.

Le conscient est la seule instance réelle. Il fonctionne d'ailleurs selon ce que l'on appelle le principe de réalité : c'est-à-dire qu'il essaie de satisfaire les pulsions de l'inconscient, tout en faisant en sorte de respecter les injonctions du préconscient et la réalité objective. Le conscient est donc l'entité qui essaie de résoudre le conflit entre les deux autres instances psychiques : c'est une sorte de médiateur. Il essaie d'atteindre un "moi idéal" en résistant aux pulsions, ou les satisfaisant de manière souvent détournée.

Nous avons tous un inconscient, un préconscient, et un conscient. L'inconscient représente nos pulsions, nos envies, nos désirs. Le préconscient représente tous les interdits issues de la société que nous intégrons pour pouvoir justement vivre en société. Le conscient quant à lui, est le médiateur essayant de trouver un équilibre entre le diable d'inconscient et l'ange de préconscient.

jeudi 8 février 2018

Un kir mûre


Je perds pied, je perds la notion du temps, je perds le passé, le présent et le futur a tes côtés. Je perds mon masque, je suis la personne que je dois être. Je te redécouvre... ou plutôt devrais-je dire : je te découvre!

On a évolué chacun de notre côté, sur des chemins parallèles sans vraiment se croiser et ce depuis notre naissance, depuis notre premier jour sur cette putain de terre, dans cette putain de vie. On a tellement de choses en commun, tellement de sentiments, de détails qui se rejoignent.

Ton histoire, je la connais, enfin... en partie, je sais ce qu'il se passe, je sais qui tu es, je sais pourquoi. Et j'ai tellement envie d'en découvrir plus sur toi et ta personnalité.

Maintenant que nos chemins se chevauchent, tu m'intrigues, m'intéresses, je voyage dans tes yeux. Ouais, je crois que je suis tombée sous ton charme... Je n'ai pas envie de sortir de ces rails. Tu me plais, je suis bien avec toi.

C'est encore plus accentué quand on se balade dans cette ville, sous la neige, il y a un côté magique. A se regarder et s'écouter dans un petit resto, et enfin manger nos précieux framboise. J'ai envie de les manger sur tes lèvres, sur ton cœur, sur toi tout simplement.

Pas besoin de Disney pour rendre la journée féérique, te regarder me suffit amplement. Je t'aime...

Et je ne sais comment sortir de cette impasse, dans laquelle je me suis enfoncée...