jeudi 1 janvier 2009

Maladie de rêve ou le rêve du malade


Bon ne sachant pas quoi vous racontez en ce moment, je ne suis pas Freud, mais je vais de nouveau vous parler de rêve, et de nouveau je rêve sur le même sujet, ça dure depuis des semaines, laissez-moi vous raconter ce dernier rêve :


Assis dans la cuisine, ta mère et ton frère me parlent, tu ouvres la porte de la cuisine, tu restes fixée sur moi, je reste fixé sur toi, je te dévisage, je te regarde… Oh belle blonde, que t’est-il arrivé ? Tâches de rousseurs, des bosses et des bleus partout sur le corps, serais-tu malade ? Un cancer de la peau ? La peste ? La lèpre ? Que t’arrive-t-il ? Ton corps est déformé, et ton regard plein de douleurs, tu te fringues dans des vêtements amples pour éviter d’avoir trop mal et de souffrir, j’ai mal pour toi…


Ton regard de douleur, je devine que tu es rejetée de tous le monde, tu es pourtant gentille, mais à leurs yeux, tu n’es qu’un monstre hideux, une personne malade, peut-être que tu es contagieuse… Tu pleures, tu ne te sens pas aimée, et pourtant… Moi je t’aime… Je t’ai toujours aimé, et je le prouve en t’embrassant tendrement, tu pleures de plus en plus, tu ne comprends pas que moi je t’aime et pas les autres… Tu me dis que je fais ça pour te faire plaisir, mais non, c’est bel et bien la vérité, je t’aime à point c’est tout, ce n’est pas pour ton physique que je t’aime mais pour ce que tu es, pour ce que tu représentes.


Vous savez quoi ? J’ai toujours peur de m’endormir, d’ailleurs plus ça va plus je m’endors tard…

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Moi aussi je fais pas mal de rêve bizarre en ce moment, pourtant je le vois pas. Sinon merci d'avoir mis cette image je la trouvais jolie mais je l'avais quand mauvaise qualité ^^

Anonyme a dit…

J'ai toujours beaucoup de plaisir à te lire car j'aime ton écriture...mais dans le fond, c'est tellement noir que je ne sais jamais quoi dire. Apparemment c'est impossible de te réconforter et pourtant tu écris tellement bien. J'espère que tes livres sont moins noirs et que ton écriture n'est pas qu'au service de cette tristesse...