lundi 30 décembre 2013

On peut tout recommencer


Il n'y a peut-être pas assez de conviction dans ma voix, peut-être trop de colère pour que tu ressentes mon amour, je suis fais de glace dirait mon cher Pierre Lapointe, mon cœur est meurtri et se défend comme il peut, comme il le veut, n'hésitant pas à cracher ce venin noir au visage de n'importe qui qui passe... Ce Benjy fait peur, ce Benjy, personne ne l'aime... Pourtant derrière la douleur et la colère, ce Benjy est tendre, ce Benjy est amoureux, ce Benjy n'en peut plus d'être loin de sa femme, de celle qu'il aime.

Oui on peut faire des bêtises, il n'y a pas mort d'homme, nous nous y sommes pris comme des manches l'un comme l'autre... Il faudrait juste qu'on arrête de se rejeter la faute sur l'un ou sur l'autre, avançons, arrêtons de se reprocher d'être con, on s'aime c'est tout ce qu'il compte, et peu importe les engueulades, peu importe les prises de têtes, si notre amour fonctionne comme ça, à quoi bon lutter contre nos sentiments.

On vient de passer 3ans et demi de bonheur, malgré quelques bêtises, quelques engueulades, quelques prises de tête, mais... On a vécu tellement de choses, prenant notre pied sur tout ce qu'on faisait ensemble, ce serait trop con que nos chemins se séparent aussi simplement... Et dire qu'il y a moins de 6 mois, nous étions au Canada, entre le Québec et l'Ontario, en hélicoptère au dessus des chutes du Niagara, au bord du Lac Ontario, à se balader à Montréal, Québec et Toronto, en hydravion au dessus de la région de Mauricie, et en train de se perdre dans Ottawa. Il est trop con de mettre tout ça à la poubelle, quand il y a encore un an, nous étions à Arcachon, sur une plage paradisiaque, forêt de pins, sable fin, soleil, et océan, à se faire des papouilles, à vivre d'amour et d'eau fraîche.

Souviens-toi de ce que tu me disais : plus le temps passe, plus tes sentiments pour moi vont s'éloigner... Par pitié, n'oublie pas qu'on s'aime, ne faisons pas de notre amour un gâchis, ce serait tellement nul... On peut reprendre notre histoire, notre amour, on peut se ressaisir, encore faut-il que tu le veuilles, encore faut-il que tu le souhaites.

Je sais tu as peur de cette part de moi, sous l'emprise de la colère, tu as peur de ça, mais tu as toujours su maîtriser mon cœur, alors merde continue à lui faire faire des bons à ce putain de cœur, car il t'aime! C'est toi qui le fait battre! Ne laisse pas se projet bébé tomber, c'est avec toi que je veux un enfant, c'est avec toi que je veux être dans un lit et notre bébé entre nous deux, à se regarder comme deux parents amoureux. Tu me manques bordel de merde, tu me manques terriblement...

Maintenant, peut-être préfères-tu vivre autre chose et me perdre à tout jamais, me reléguer au rang de souvenir sans plus, et rencontrer quelqu'un d'autre, pour oublier ce que tu as vécu avec moi...

"Je sais qu'encore hier, l'amour s'est liquéfié quelque part entre nous..."

mercredi 4 décembre 2013

Une bouteille à la mer


Le sablier coule, Alice se perd dans une chute lente, dans un tourbillon violet. Violet comme le sable de ce sablier gothique, qu'on vient de retourner, de mélanger de nouveau, devenant un nouveau temps qui s'écoule lentement, elle ne comprend pas ce qu'il se passe, pourquoi passer par des chemins terribles, pour comprendre ce qu'il sort du fin fond de ses entrailles.
Et puis le sablier se retourne de nouveau, et Alice se laisse emporter dans une bouteille qui vogue sur la mer, dans l'océan de noir, dans les profondeurs de l'oublie, sans connaitre la fin, ni voir une terre, un message sur lequel est écrit non pas "Drink me", mais "Je t'aime, pardonne-moi", le message arrivera-t-il a destination? Alice ne le sait pas, elle essaye juste de sortir de cette prison de verre, mais pour se noyer? Non, elle nagera, elle ramera, elle galérera, et elle y arrivera, épuisée, détruite, presque mourante, mais elle y arrivera coûte que coûte.
Après avoir couru pendant longtemps après un lapin blanc, avoir failli se faire couper la tête par la Reine de cœur, après avoir grandie et rétrécie un bon nombre de fois, ce n'est pas l'océan qui va l'empêcher de revenir à terre, mais que cachent les profondeurs de l'océan? Un mégalodon? Un calamar géant? Un léviathan? Peu importe, elle se battra!

"Tous les cris les SOS, partent dans les airs..."

jeudi 19 septembre 2013

Mylène Farmer à Bercy


C'était mardi dernier, le 17/09/13, très bon concert, on fait parti de sa bulle, on fait parti de son monde, très bonne entrée, magnifique sortie, les robots sont également très attrayant. Rien à redire sur la qualité du spectacle, même si Libertine et Pourvu qu'elle soit douce n'étaient pas au rendez-vous, et que l'ambiance n'est pas la même que les autres concerts que j'ai pu connaître jusqu'à présent!



jeudi 12 septembre 2013

Québec : vieux rêve perdu


Plus d'histoire, ville ressemblant étrangement à Saint-Malo, au départ de Jacques Cartier. Une citadelle, de style Vauban, dans les plaines d'Abraham, pas Lincoln, Abraham Martin! Une chute, la chute de Montmorency, 83m, plus haute que celles de Niagara.

Ville tranquille, ville ouverte, ville francophone aussi. Le château Frontenac est juste magnifique! Québec je t'aime!

Marcher sur les murs de la citadelle, des larmes aux yeux, le vent qui fouette mon visage, au pied du château, je contemple Québec et le saint-Laurent, mes pensées divergent? Pourquoi? Nostalgie juste avant de partir, sur la ville illuminé un soir d'été... Je me vois danser sous un kiosque à musique. Je marche sur tes pas... Et si je sautais du haut du château? M'écraser dans ce rêve subtile, cette revanche, on ne vit qu'une fois.

Notes après la visite de l'église de Sainte-Anne:
-Heureusement que Jésus a été crucifié et non pendu, sinon on porterait tous une corde autour du cou.
-J'ai tenté de trouver en souvenir un p'tit Jésus qui parle québécois, mais en vain. Dommage ça aurait été rigolo!

mardi 10 septembre 2013

La Mauricie : Whale transport


Forêts à perte de vue, dans lequel s’étendent des lacs et des rivières. Cool attitude, très peu d'électricité, pas de réseau, pas d'internet, c'est le calme complet, c'est reposant, on se retrouve à pagayer dans des rabaskas, ces canoës utilisés jadis pour l'exploration de l'Amérique par les français. On se retrouve à ramer et à croiser des barrages à castor, tout en imaginant les petits canoës indiens d'antan, croiser les immenses navires venus explorer, coloniser ou marchander.

Au milieu de la nature, même avec un survol en hydravion, on a l'impression d'être au milieu de toundra. Étonnante vie de baba-cool, on se retrouve à se laver avec l'eau du lac et aller aux toilettes avec un sac de sciure.

M'enfin, remontons au fjord de Saguenay, et redescendons sur le saint-Laurent, faire une croisière à Tadoussac, où l'on peut voir bélugas, marsouins, petits rorquals, baleines à bosses, etc...

Note :
La baleine dit "C'est assez, j'me cache à l'eau, j'ai l'dos fin!"

samedi 7 septembre 2013

Ottawa : Find me


La capitale n'est pas si grande comparé à Toronto ou Montréal. Plus d'histoire, et bien plus chaleureuse comme ville, où le style britannique s'est imposé grâce à la reine Victoria. Un côté naturel dans cette ville, on est toujours à moins de 10 minutes d'un coin de verdure.

Je n'en reviens toujours pas que l'on parle français aussi facilement au Canada en général, je ne parle pas qu'au Québec, bon ok le français est une des deux langues officielles du Canada, avec l'anglais, m'enfin, j'aurais pensé que ça aurait juste touché le Québec et pas tout le Canada entier.

Ça manque vraiment d'épreuve malgré tout pour moi. Quoi qu'en parlant d'épreuve, en voilà deux : sortir d'un centre commercial d'Ottawa sans perdre son chemin, eh bien c'est au bout d'une heure qu'on a réussi! En remontant le lac Saint-Jean, la seconde épreuve m'attend, digne des 12 travaux d'Astérix, où Obélix doit manger le repas des titans, préparé par Mannekenpix. Eh bien là, c'est un repas dans une cabane à sucre qui m'attend. Sirop d'érable à l'honneur! Repas sucré, préparez vos papilles, c'est trop bon!

mercredi 4 septembre 2013

Niagara : je dois m'en aller


Immenses chutes, des milliers de litres d'eau qui tombe de plus de 50m de haut dans un boucan d'enfer, ça gronde,c'est beau, magnifique paysage!

On se retrouve dans un bateau, où on nous fournie des imperméables en cellophane bleu, bref on se retrouve en mode schtroumpfs. On passe de nouveau la frontière en bateau pour aller au pied de la chute du fer à cheval, la chute canadienne, se prendre une bonne douche, et malgré l'imperméable, on finit complètement trempé. Le courant est si fort que le bateau a du mal à manœuvrer, à se déplacer... Comment des gens ont été assez cons pour sauter du haut des chutes? On ne rivalise pas avec la nature.

J'ai également passé la frontière américaine en hélicoptère, pour faire un survol des chutes, c'est ainsi qu'on peut remarquer un immense nuage au dessus de la chute canadienne.

Niagara au Canada dans la province de l'Ontario, et Niagara aux USA dans l'état de New York. La ville vie juste grâce au tourisme, mais le problème c'est que les chutes reculent petit à petit avec l'érosion. 12km en 12000ans, soit un 1m par an. Du coup, on fait baisser le débit de 50% pour ralentir au mieux l'érosion.

Ne pas faire semblant d'aimer, se serait perdre votre cœur dans ces eaux gigantesques.

Pour finir, passons par le lac Ontario, qui fait passer le lac de Cazeaux ou le lac Léman pour des mares à côté de ce lac. Beautiful encore une fois!

lundi 2 septembre 2013

Toronto : follow me


Une croisière aux Milles-Îles, une croisière sur la frontière américano-canadienne, une croisière au fil du Saint-Laurent, qui fait passer la Loire pour un ruisseau tout pourri... Vu des 1684 îles, habitées pour la plupart.

Paysage typique du Canada, grandes maisons, forêts, eaux, roches, animaux, nature... Reposant!

Tout ça avant d'arriver à la deuxième ville nord-américaine (point de vu grattes-ciel), devant des villes comme Chicago ou Los Angeles. Comment l'homme peut-il construire des constructions aussi importantes de toutes époques, sur tout continents? Charme de l'ancien rencontre les buildings contemporains sans choquer qui que ce soit, encore une fois comme à Montréal, les rues se retrouvent à être reliés entre elles par sous-terrains, ou les rues se retrouvent avec un toit par dessus la tête. Un col blanc peut facilement se déplacer en hiver, sans prendre de manteau.

Une petite partie francophone, 200 000 personnes, peu importe, l'anglais me va très bien! Je ne l'ai pas perdu, malgré que j'ai un peu de mal avec cet accent canadien par moment, mais rien de méchant.
On y parlerait au moins 100 langages différents, beaucoup de grecs, chinois, italiens, français, etc... Et on se retrouve plus dans une mentalité anglo-saxonne que je connais bien, comme une grande ville de ces nouveaux pays.

Halte au Burger King mes amis! Hungry Jack's en Australie! Il n'y en a pas en France, enfin si il y en a deux qui ont ré-ouvert dernièrement, un à l'aéroport de Marseille, et l'autre sur une station d'autoroute proche de Reims. Gouttons au fameux Whopper qui avait quitté la France en 1997.

Note : L'est bizarre la cacahuète, celui-là!...

vendredi 30 août 2013

Montréal : Gout d'inachevé


La deuxième ville francophone au monde, est vraiment très belle, entre le style britannique et le style français, Montréal montre une très grande ouverture d'esprit. Que ce soit sur l'art, ou le contemporain comme l'ancien peuvent se croiser, l'abstrait comme le concret peuvent se regarder en face en face, droit dans les yeux. Mais je remarque également cette ouverture d'esprit sur la façon de penser, je ne sais pas si c'est le fait d'être bilingue qui fait ça, mais ils sont cool les cousins, prenons de la graine sur nos cousins québécois. Poséidon serait heureux, l'eau est sacré dans ce pays, le côté écolo de ce pays est vraiment grand.

Un peu déboussolé par le franglais, je configure mon cerveau en français ou en anglais, mais rarement les deux en même temps, sinon je grille les programmes là haut!

Il me faut du temps pour visiter l'ancienne métropole entièrement, et je manque de temps justement, je reviendrai! Je comprends que beaucoup de français aime le Québec, mais c'est trop simple pour moi. Que ce soit dans ce district sous-terrain ou dans les rues en plein air, le défi se relève simple.

Je marche sur les traces d'un fantôme perdu...
De deux cœurs disparues au pied du Musée des Beaux-Arts...
C'est peut-être maintenant que je comprends...

Néanmoins, en quelques heures, je me repère très bien dans la ville, rien de bien compliqué me direz-vous? C'est vrai, et puis après Sydney, Montréal c'est un jeu d'enfant. Montréal a tout d'une ville française et d'une ville anglaise, mais également tout d'une capitale, d'une mégalopole. En fait tout ce que Paris, Londres, New York, etc... ont, Montréal a également!

Jacques Cartier, tu n'as pas merdé, 3 voyages, tu découvres de nouvelles terres, tu finis par mourir pauvre parait-il, peut-être entre les remparts de Saint-Malo, là où tout à commencé. Explorateur, tu es riche! Tu as une histoire à raconter! Ceux qui ont à rougir, sont ceux qui ont perdu ces terres de Nouvelle-France comme des merdes en 1763!

Notes :
-Smokead Meat : spécialité de Montréal, au même titre que le Corned Beef à New york.
-Dépanneur : arabe du coin
-It's a small world : on peut être à l'autre bout du monde, on croise toujours quelqu'un qu'on connait, le monde est petit. Je croise dans un centre commercial, une collègue de travail.
-Différences entre nos cousins et nous : nous mettons l'anglais de plus en plus dans le français, les québécois retire l'anglais le maximum qu'ils peuvent, ainsi le beach volley devient ballon volant de plage, stop devient arrêt.

''Je me souviens que né sous le lys, je crois sous la rose...''


mercredi 28 août 2013

Stewart little : dans l'avion

le 15/08/13


L'idée m'est venue un soir d’août 2012, après des vacances à Arcachon et à La Rochelle, nous étions en Bretagne, et qui dit Bretagne, dit surtout Festival de Lorient! Une pub m'a attiré l’œil pendant le concert d'un groupe Acadien.

L'autre province du Canada!

De quoi qu'ils causent dans la pub? Le Nouveau-Brunswick? Acadie? Et si je faisais un tour au Canada! Un pays qu'il m'a été interdit il y a quelques années (je rigole bien sur), et je prends cette revanche 5ans plus tard, oui... déjà 5ans, putain que ça passe vite...

La compagnie? Corsair Fly, airbus A330, pour l'Australie, c'était Etihad Airways, avec un A340.
Durée du vol? 7h, ça change des 23h. Je voyage à la vitesse du soleil me dit Julien, c'est vrai!
Durée du voyage? 1h45, bah oui je décolle à 16h et j'arrive à 17h45, rapide!
Dans quel état d'esprit je pars? Normal, vacances quoi, pas une aventure version Indiana Jones, j'aimerais bien pourtant! lol Je ne pars pas dépravé comme pour l'Australie, a m'échoué dans un océan de noir...

Dans quelques heures j'arrive, l'envie de disparaître, de me perdre, vivre un futur souvenir, une aventure! J'ai hâte d'y être! Mais question que je me pose : le ciel de Montréal est-il noir? Si noir qu'il en devient bleu comme l'océan? La réponse, je la connaîtrai ce soir!

mercredi 14 août 2013

Station de carburant


Mon sac sur le dos, prêt à reprendre du service, je repars, reprendre un peu d'air. Une nouvelle destination s'offre à mes pieds...

lundi 5 août 2013

C'est pas sorcier!


"Vous ne passerez pas!"

-Eh Jammy! Regarde un peu le mec avec ses sabres pour faire atterrir les avions!
-Attention la p'tite voix! Je vais casser l'image que tu as en têt, mais ils n'ont pas des sabres lasers les gentils messieurs de l'aéroport, on n'est pas sur Tatooine!
-Quoi? On m'aurait menti Jammy?
-Et encore ça, ce n'est que le début la p'tite voix!
-Quoi? Mais comment?
-Si tu veux, on va commencer à prendre du temps pour parler de tout ça, y'a du boulot! Il était une fois dans un aéroport... Des gentils playmobils qui s'occupent des gros navions!
-Et pas avec des sabres lasers!
-Bah je ne sais pas comment te dire ça, sans que tu t’effondre, mais... Nan, y'a pas de sabres lasers la p'tite voix.
-Mais dis moi Jammy, comment s'appelle le bâton des messieurs alors?
-Eh bien, le bâton des messieurs remontent à l'antiquité...
-Donc y'avait des avions dans l'antiquité quoi!
-Pas de conclusion hâtive, la p'tite voix! Le premier prototype fut inventé bien plus tard par un certain Léonard de Vinci! Alors Fred, partons tout de suite en Italie, pour en savoir un peu plus sur ces bâtons, un sujet qui je suis sur, passionne tous nos amis! En route Marcel!
-Oui Jammy, alors c'est ici qu'est né ce fameux bâton, à Pompeï. Nous trouvons, ici, parmi les fouilles, des morceaux intacts de ces premiers bâtons qui servait toujours au moment de l'éruption du Vésuve. D'ailleurs en parlant de ça, vous pouvez voir un couple pris sous les cendres, un homme probablement en train de sodomiser une femme, une servante pour être plus précis. Le bâton servait à battre la femme qui refusait de se soumettre! Jammy explique nous la sodomie!
-Oui Fred, expliquons ça! Au départ, le bâton qui servait à battre la femme avait une toute autre utilité, qu’il nous faut suggérer pour ne pas heurter notre si jeune public, faisons travailler notre imagination…d’où cette magnifique couleur marron, d’ailleurs il faudra attendre la fin du 18ème siècle pour que soit préféré plutôt la couleur blanche, mais nous y reviendrons…donc, un homme de Pompéi a un jour cassé son bâton et à donc dû faire avec ce qu’il avait sur le moment…de la est né la sodomie. En maquette ça donne ceci : oh oui Jammy, frappe moi frappe moi ! Pas de soucis Agrippa ! Prends ça ! Prends ça ! Oups le bâton est cassé ! Hihihihihi ! Fred du nouveau à Pompeï ?
-Eh bien oui Jammy, je me trouve au musée de la sodomie et du bâton en plein cœur de la ville ou une foule de touristes attend de pouvoir accéder au simulateur à l’ancienne avec le bâton! Je fais moi-même la queue (sans jeu de mots bien sur !) mais une question me turlupine Jammy !! Comment ce bâton si précieux a pu se retrouver entre les mains de nos chers messieurs de l’aéroport !! c’est fou !
-Eh bien voilà, à l’époque, remontons au moyen-âge, il y avait un peu plus de pudeur pour pratiquer ces choses là, et c’était donc de nuit que la sodomie était pratiquée ! L’invention ingénieuse n’était non pas de mettre le feu au bâton pour voir la cible, mais d’emprisonner des vers luisants dans un bocal et d’accrocher ce bocal au bâton ! N’est-ce pas la p’tite voix ?
-Très ingénieux !! Oui tout à fait jamy ! Y’a un pécore qui a voulu tenté effectivement en mettant le feu au bâton, ce n’est que le lendemain matin en sentant une odeur un peu suspecte qu’il s’est aperçu que ce n’était pas une bonne idée, et surtout la cible n’était plus utilisable ! Donc, il fut convenu que les habitants devaient utilisés des vers luisants, c’est pour cela qu’ils sont classés espèce protégée ! Afin de pouvoir servir ces nobles personnes dans leurs pratique de bâton. Et depuis, en souvenir de cette triste victime du feu, la ville fut baptisé Bâton Rouge. Depuis, l’homme a inventé l’électricité et les vers luisants ont été remplacés par des leds en même temps que le bâton devenait de plus en plus sophistiqué. Au milieu du 15ème siècle, il perdit son utilisation d’origine car les hommes pouvaient désormais pratiquer leurs petites affaires sans ce fameux bâton. Mais, me direz-vous, les avions n’existaient pas encore à l’époque ! Dis nous Fred, comment ce bâton a-t-il pu passer ces siècles sans tomber dans l’oubli pour finalement arriver entre les mains des messieurs ?
-Vers 1500, Léonard de Vinci qui faisait toutes les expériences possibles et inimaginables pour accroître son savoir ! De Vinci utilisait ce fameux bâton pour ces expériences avec son élève Salai ! Et lors des premiers prototypes d’avions, sur papier bien sur, Leonard comprit vite qu’il fallait deux personnes pour guider l’engin, un pour le conduire, l’autre pour l’aider dans sa direction, et pour cela le second avait besoin de quelque chose de lumineux pour diriger l’engin que ce soit de jour comme de nuit. Imaginez vous un instant dans le noir à tenter d’aller quelque part sans aucune aide lumineuse, c’est pratiquement impossible ! Tu vois la p’tite voix, c’est évident !
-Mais oui bien sur! C’est tellement évident !! Et bien entendu il faut préciser que De Vinci était plus qu’adepte de ce bâton sur son élève Salai avant d’en trouver une autre utilité, c’est d’ailleurs lors d’une expérience bâtonneuse sur son élève que De Vinci eu cette idée lumineuse hahaha ! Et voila les amis, vous avez pu comprendre avec nous comment ces petits bâtons sont arrivés entre les mains de nos chers messieurs du tarmac!
-Aller ! Chauffe Marcel ! Roule ! Au revoir les amis, au revoir la p’tite voix, au revoir Fred !

*Klaxon de Marcel*

mardi 23 juillet 2013

lundi 13 mai 2013

Quoi encore?


Après plusieurs mois, on arrive à revenir en arrière, bientôt les dreads! mdr Si vous m'avez pas vu depuis des années, vous saurez me reconnaître sans problème! Non, je n'ai pas changé, ça fait quinze ans que j'ai dix ans... 

dimanche 5 mai 2013

Oh! Regardez! Un avion!



On parle de récession, de crise, les plus grosses usines se barrent de France, le nombre de chômeurs augmentent, les payes ne suivent pas, les moyens manquent partout, le pays est en train de couler...

Les politiciens se penchent sur le mariage pour tous, si y'a bien une chose dont c'est le dernier des soucis c'est bien celui là! Mais non, le peuple plonge, et prend part au débat, qui quelques soit l'issu, ne changera rien à la merde qui est en train de se déverser sur le pays. Bande de bobos parigots...

Les politiciens se penchent sur le mariage pour tous, comme un changement radical... Mais quels sont les crétins qui peuvent croire ça putain?! Redresser le pays, lutter contre la crise, trouver du travail pour tous, ce n'est pas la priorité pour tous on dirait...

Quoi qu'il arrive, tous critique Hollande, et ça commence par des abrutis comme Mélenchon qui voudrait être la nouvelle gauche, l'extrême gauche... vous savez bien... Staline, marteau, faucille, communisme, goulag... Bref c'est super, ça critique la mère Le Pen, mais en fait c'est pas mieux.

Autre critique, les médias, qui regrettent un Sarko facho, eh bien putain comme si les médias étaient pote avec lui, chose que je ne vous apprends pas. Un Sarko qui nous a bien niqué notre pognon, et qui continue malgré tout, merci les radars et les flics de merde qui nous foutent de PV au moindre problème, putain de flics sans couilles, des pourries qui tapent sur la gueule des gens honnêtes... Je vous baise, moi je suis capable de me regarder dans un miroir.

 Bref ça critique... Eh! Y'a quelqu'un là dedans? Vous avez voter pour lui! Vous saviez dès le début que c'était un flan, alors ne venez pas vous plaindre...

Et sinon comment va le pays? PSA fout 10 000 emplois en l'air, on perd la sécurité sociale, les moyens manquent dans les structures publiques, on n'est pas capable de bouffer convenablement, l'argent part dans les aides, alors qu'on n'est pas capable de subvenir à nos propres besoins... Ah si! Les radars poussent! Et les gens laissent faire tout ça, et préfère être pour ou contre un mariage pour tous... En fait les gays, c'est vous tous! Vous êtes tous coupable de fermer les yeux et de laisser la merde se répandre sur le pays! De ne pas vous battre contre ces politiciens de merde! Moi même je suis un lâche, car je ne bouge pas, j'écris derrière mon pc, mais putain bougeons!!!

"Et à part ça, eh bien ça va! S'y s'passe quelque chose on vous le dira."


dimanche 21 avril 2013

Fin de vie de Louis XVIII


Louis XVIII souffrait d’une goutte qui empira avec les années et lui rendait tout déplacement extrêmement difficile à la fin de son règne. Dans ses dernières années, le roi podagre devait se déplacer en béquilles et était souvent déplacé en fauteuil roulant dans ses appartements, lui-même se baptisant « le roi fauteuil ». Vers la fin de sa vie, il était atteint d'artériosclérose généralisée, en outre la gangrène rongeait son énorme corps impotent, déjà appesanti par l'hydropisie. À la fin du mois d'août 1824, la maladie avait provoqué une large plaie suppurante en bas du dos et l'avait rendu méconnaissable. Fièrement, il refusait de s'aliter, reprenant les propos de Vespasien : « Un empereur doit mourir debout ». Mais, le 12 septembre, sa terrible souffrance l'obligea à se coucher. Il se décomposait vivant et dégageait une odeur si nauséabonde que sa famille ne pouvait rester à son chevet. Un de ses yeux avait fondu ; le valet de chambre, en voulant déplacer le corps, arracha des lambeaux du pied droit ; les os d'une jambe étaient cariés, l'autre jambe n'était qu'une plaie, le visage était noir et jaune.

C'est tiré de wikipédia, et je crois que c'est l'une des pires fins de vie qu'on puisse avoir, pourrir vivant...

dimanche 31 mars 2013

Salon du livre 2013

 
Lorant Deutsch :-)

 
Francis Huster, je suis fier de ma photo :-p attention aux chevilles qui gonflent

 
Merci Zep pour cette photo :)

 
Encore le père de Titeuf!
 
 
Ca change sans maquillage ^^ Françoise Hardy


 
Thierry Séchan, frère de mon chanteur préféré :-)


dimanche 27 janvier 2013

Blobfish


C'est moche, on parle d'un visage, on parle d'un truc visqueux, voici le blobfish! Il est tout triste, normal... Personne ne se soucis de lui!

Ce poisson vivant aux environs de 1km de profondeur aux larges des côtes australiennes, ne sert pas à grand chose, voir même à rien. Il se nourrit de neige marine. Il est visqueux, car son corps doit supporter une pression pratiquement 100 fois supérieur à celle de la surface. Il a un rythme de reproduction lent. Il est pêché par erreur par le chalutage de fond. Sa chair n'est pas du tout apprécié. Il est fragile. Bref il a tous les défauts! Il est en danger, et personne ne soucis de lui...

Oui c'est vrai ce serait le saumon, ou la truite qui serait en danger, là ça changerait tout, vu qu'on en mange! Mais le blobfish... Ça ressemble à rien, c'est moche, ça ne se mange même pas, à quoi ça sert de s'en soucier?! Manque d’intérêt, donc on ne s'en soucis pas?

Je reconnais bien le nombrilisme de l'être humain sur ce coup là...